MM. Wilfried-Sylvain Nambéï et Patrick Eba
L'objectif de cette conférence de presse est d'annoncer l'atelier d'évaluation des forces et faiblesses des stratégies jusque-là mises en œuvre dans le cadre de la lutte contre le VIH-sida, par le truchement de l'accès aux ARV.
Au cours de la conférence de presse, les intervenants ont admis que la RCA est parmi les pays les plus affectés par l'épidémie du VIH, avec une prévalence disproportionnée de 1% dans les régions du nord-ouest et 11% dans celles du sud-est.
Ils ont également indiqué que 120.000 personnes vivent avec le VIH-sida, mais que seulement 32% de ces personnes ont accès à la thérapie antirétrovirale, pour l'instant encore très limitée chez les enfants.
En réponse à ce constat, ont-ils dit, le plan de rattrapage lancé en 2017 devrait permettre de mettre sous traitement antirétroviral près de 77.000 personnes vivant avec le VIH-sida dans seulement six villes qui sont : Bangui (capitale), Bimbo (commune à la périphérie de la capitale), Paoua (nord-ouest), Berbérati et Carnot (ouest) et Bambari (centre).
En raison du contexte sécuritaire incertain, auquel il faut ajouter les difficultés de mobilisation des ressources nécessaires auprès des partenaires, la mise en œuvre de ce plan n'a pas été correcte, d'où son évaluation les 2 et 3 août, sur la base des indicateurs mesurables. Les activités prévues pour accompagner ce plan concernent les dépistages et les traitements des nouveaux cas d'infection à l'aide des ARV.
Les partenaires de la mise en œuvre de ce plan sont : l'ONU-sida, l'UNICEF, l'OMS, l'UNFPA, la mission onusienne en Centrafrique (MINUSCA) et des ONG humanitaires.
Au cours de la conférence de presse, les intervenants ont admis que la RCA est parmi les pays les plus affectés par l'épidémie du VIH, avec une prévalence disproportionnée de 1% dans les régions du nord-ouest et 11% dans celles du sud-est.
Ils ont également indiqué que 120.000 personnes vivent avec le VIH-sida, mais que seulement 32% de ces personnes ont accès à la thérapie antirétrovirale, pour l'instant encore très limitée chez les enfants.
En réponse à ce constat, ont-ils dit, le plan de rattrapage lancé en 2017 devrait permettre de mettre sous traitement antirétroviral près de 77.000 personnes vivant avec le VIH-sida dans seulement six villes qui sont : Bangui (capitale), Bimbo (commune à la périphérie de la capitale), Paoua (nord-ouest), Berbérati et Carnot (ouest) et Bambari (centre).
En raison du contexte sécuritaire incertain, auquel il faut ajouter les difficultés de mobilisation des ressources nécessaires auprès des partenaires, la mise en œuvre de ce plan n'a pas été correcte, d'où son évaluation les 2 et 3 août, sur la base des indicateurs mesurables. Les activités prévues pour accompagner ce plan concernent les dépistages et les traitements des nouveaux cas d'infection à l'aide des ARV.
Les partenaires de la mise en œuvre de ce plan sont : l'ONU-sida, l'UNICEF, l'OMS, l'UNFPA, la mission onusienne en Centrafrique (MINUSCA) et des ONG humanitaires.