Le ministre Albert Besse a, indiqué que les reformes engagées depuis le retour à l’ordre constitutionnel de 2005 dans le domaine de la mobilisation des ressources financières ont permis à la République Centrafricaine de renouer avec les Institutions financières internationales notamment la Banque Mondiale et la Banque Africaine de Développement (BAD).
« Dans le cadre de la lutte contre la corruption et la lutte contre la fraude des régies financières, le gouvernement centrafricain a instauré le système de bancarisation des recettes et la création du guichet unique à Douala qui permettent au gouvernement de savoir exactement le montant des devises qui entrent dans la caisse de l’Etat, car l’argent va directement dans les banques et la mise en place du Comité de trésorerie présidé par le Président François Bozizé, permet de contrôler les dépenses de l’Etat », a-t-il expliqué.
Le ministre Besse a fait savoir que la bancarisation des fonctionnaires centrafricains est une réussite malgré quelques difficultés individuelles relatives aux problèmes techniques liées à l’installation des nouvelles logistiques.
« En plus, la République Centrafricaine a ratifié toutes les conventions avec les Institutions financières internationales », a-t-il dit.
Le ministre Albert Besse a affirmé que ces reformes ont ouvert les voies aux bailleurs de fonds pour venir investir dans le pays.
« La Banque Mondiale et la Banque Africaine de Développement sont entrain de financer le bitumage du tronçon Baoro jusqu’à près de trois cent kilomètres à l’intérieur du Cameroun », a informé le ministre Albert Besse.
« Toutes ces reformes ont conduit à l’annulation des anciennes dettes des années 1972 à 1973 de plus de 200 à 300 milliards de francs CFA des dettes en 2010 et à l’admission de la Centrafrique au point d’achèvement des Pays pauvres très endettés (PPTE) », a confirmé le ministre des Finances et du Budget.
« Dans le cadre de la lutte contre la corruption et la lutte contre la fraude des régies financières, le gouvernement centrafricain a instauré le système de bancarisation des recettes et la création du guichet unique à Douala qui permettent au gouvernement de savoir exactement le montant des devises qui entrent dans la caisse de l’Etat, car l’argent va directement dans les banques et la mise en place du Comité de trésorerie présidé par le Président François Bozizé, permet de contrôler les dépenses de l’Etat », a-t-il expliqué.
Le ministre Besse a fait savoir que la bancarisation des fonctionnaires centrafricains est une réussite malgré quelques difficultés individuelles relatives aux problèmes techniques liées à l’installation des nouvelles logistiques.
« En plus, la République Centrafricaine a ratifié toutes les conventions avec les Institutions financières internationales », a-t-il dit.
Le ministre Albert Besse a affirmé que ces reformes ont ouvert les voies aux bailleurs de fonds pour venir investir dans le pays.
« La Banque Mondiale et la Banque Africaine de Développement sont entrain de financer le bitumage du tronçon Baoro jusqu’à près de trois cent kilomètres à l’intérieur du Cameroun », a informé le ministre Albert Besse.
« Toutes ces reformes ont conduit à l’annulation des anciennes dettes des années 1972 à 1973 de plus de 200 à 300 milliards de francs CFA des dettes en 2010 et à l’admission de la Centrafrique au point d’achèvement des Pays pauvres très endettés (PPTE) », a confirmé le ministre des Finances et du Budget.