le président français Jacques Chirac
Invité officiel du président français Jacques Chirac au défilé militaire du 14 juillet 2006, François Gouandjika, qui souhaite qu’on l’appelle désormais « tirailleur centrafricain» a formulé cette demande lors de ses entretiens avec les hautes autorités de l'armée et de l'administration françaises qui l’ont reçu lors de son séjour parisien.
Il a rappelé à ses hôtes avoir « participé à la campagne 1939-1945 à Royan et à la Rochelle.. » où Plusieurs de ses compatriotes tels que les soldats Déba, Yamalé et bien d’autres sont morts très jeunes pour libérer la France, a rapporté Fidèle Gouandjika, actuel ministre des Postes et Télécommunications chargé des Nouvelles Technologies.
Il convient de signaler que « le tirailleur centrafricain » Gouandjika a appartenu au célèbre Bataillon de marche 2 dont les faits d’arme sont relatés dans le dernier ouvrage de l’écrivain Pierre Sammy Mackfoy intitulé « de l’Oubangui à la Rochelle ou le parcours d’un bataillon de marche. »
« Le bataillon de marche de l’Oubangui partit de Bangui le 4 janvier 1941, guerroya successivement en Palestine, en Syrie, en Libye où il s’illustra à la bataille de Bir Hakeim, avant de finir sur le sol français, au front de l’Atlantique. C’est lui qui vida les poches de résistance allemande du Sud-Ouest et porta le dernier coup qui marque la capitulation définitive de l’ennemi et la libération de la France le 8 mai 1945 », peut-on lire sous la plume de l’écrivain.
Il a rappelé à ses hôtes avoir « participé à la campagne 1939-1945 à Royan et à la Rochelle.. » où Plusieurs de ses compatriotes tels que les soldats Déba, Yamalé et bien d’autres sont morts très jeunes pour libérer la France, a rapporté Fidèle Gouandjika, actuel ministre des Postes et Télécommunications chargé des Nouvelles Technologies.
Il convient de signaler que « le tirailleur centrafricain » Gouandjika a appartenu au célèbre Bataillon de marche 2 dont les faits d’arme sont relatés dans le dernier ouvrage de l’écrivain Pierre Sammy Mackfoy intitulé « de l’Oubangui à la Rochelle ou le parcours d’un bataillon de marche. »
« Le bataillon de marche de l’Oubangui partit de Bangui le 4 janvier 1941, guerroya successivement en Palestine, en Syrie, en Libye où il s’illustra à la bataille de Bir Hakeim, avant de finir sur le sol français, au front de l’Atlantique. C’est lui qui vida les poches de résistance allemande du Sud-Ouest et porta le dernier coup qui marque la capitulation définitive de l’ennemi et la libération de la France le 8 mai 1945 », peut-on lire sous la plume de l’écrivain.