Photo de famille après l'ouverture de l'Assemblée générale de l'ARC
La révision des textes de base et le renouvellement du bureau de l’association présidé par l’abbé Jean-Ignace Manengou figurent à l’ordre du jour de cette assemblée générale prévue pour prendre fin mercredi 22 mai.
Dans son allocution d’ouverture du président de L’ARC, l’abbé Jean-Ignace Manengou, s’est focalisé sur la refondation de l’organisation, appelant à la création d’une nouvelle structure, « plus grande et plus forte que l’ARC », et à la tête de laquelle il souhaite voir « de nouveaux leaders capables d’ouvrir de nouveaux chantiers, à mesure de répondre positivement aux sollicitations des communautés ».
Il a remercié le Haut Conseil de la Communication (HCC), sensible aux préoccupations des radios communautaires, ainsi que le ministère de la Communication, avec lequel il s’est dit disposé à renouveler la convention de collaboration avec le gouvernement pour une collaboration entre les médias publics et les radios communautaires en vue d’une meilleure information de la population centrafricaine.
Quant au représentant du ministre de la Communication et des Media, Simon-Pierre Ndouba, il s’est réjoui de ce que les organisations des professionnels des médias ont un fonctionnement de plus en plus régulier, à l’exemple de l’Union des journalistes de Centrafrique (UJCA) en 2018 et de l’ARC dont le président s’apprête à passer la main.
Il a rappelé le rôle extrêmement important que les radios communautaires sont appelées à jouer pour relayer le travail des médias dont le champ de couverture est actuellement réduit.
Il les a appelées à faciliter auprès des populations à la base l’appropriation de l’Accord politique de paix et de réconciliation signé avec 14 groupes armés le 6 février 2019 à Bangui et visant à obtenir une cessation des violences en vue d’un retour à la normale dans tout le pays.
Créée le 13 juin 2009 avec 13 radios communautaires, l’ARC en compte aujourd’hui une trentaine à Bangui, la capitale de la République centrafricaine, et dans plusieurs préfectures du pays.
Dans son allocution d’ouverture du président de L’ARC, l’abbé Jean-Ignace Manengou, s’est focalisé sur la refondation de l’organisation, appelant à la création d’une nouvelle structure, « plus grande et plus forte que l’ARC », et à la tête de laquelle il souhaite voir « de nouveaux leaders capables d’ouvrir de nouveaux chantiers, à mesure de répondre positivement aux sollicitations des communautés ».
Il a remercié le Haut Conseil de la Communication (HCC), sensible aux préoccupations des radios communautaires, ainsi que le ministère de la Communication, avec lequel il s’est dit disposé à renouveler la convention de collaboration avec le gouvernement pour une collaboration entre les médias publics et les radios communautaires en vue d’une meilleure information de la population centrafricaine.
Quant au représentant du ministre de la Communication et des Media, Simon-Pierre Ndouba, il s’est réjoui de ce que les organisations des professionnels des médias ont un fonctionnement de plus en plus régulier, à l’exemple de l’Union des journalistes de Centrafrique (UJCA) en 2018 et de l’ARC dont le président s’apprête à passer la main.
Il a rappelé le rôle extrêmement important que les radios communautaires sont appelées à jouer pour relayer le travail des médias dont le champ de couverture est actuellement réduit.
Il les a appelées à faciliter auprès des populations à la base l’appropriation de l’Accord politique de paix et de réconciliation signé avec 14 groupes armés le 6 février 2019 à Bangui et visant à obtenir une cessation des violences en vue d’un retour à la normale dans tout le pays.
Créée le 13 juin 2009 avec 13 radios communautaires, l’ARC en compte aujourd’hui une trentaine à Bangui, la capitale de la République centrafricaine, et dans plusieurs préfectures du pays.