L’atelier vise à valider les études sectorielles et à définir les activités prioritaires qui doivent être mises en œuvre pour que le commerce joue son rôle dans la politique de développement du pays, favorisant ainsi la réduction de la pauvreté.
L’appui financier et technique du Pnud et de la Banque Mondiale a permis au ministère du Commerce d’organiser cet atelier de validation, qui a mobilisé une centaine de cadres des différents départements ministériels pour examiner entre autres le système statistique national, le développement du secteur privé et l’environnement des affaires, la politique commerciale, les institutions commerciales et l’accès aux marchés ainsi que la facilitation du commerce et le transport.
M. Moyouana a déclaré à cette occasion que « le cadre intégré est un processus qui permet aux pays moins avancés (PMA) d’améliorer leur capacité à formuler, négocier et mettre en œuvre des politiques commerciales, de façon à s’intégrer pleinement dans le système commercial ».
Il permet en effet, selon lui, de saisir les opportunités de marché qu’il offre, d’intégrer le commerce dans les documents de stratégie pour réduction de la pauvreté (DSRP) et de contribuer à la fourniture coordonnée de l’assistance technique liée au commerce.
Il a enfin noté que le présent atelier « offre au gouvernement centrafricain et aux acteurs du commerce l’opportunité de déterminer, en collaboration avec les partenaires au développement, les stratégies à adopter pour une pleine intégration du commerce dans l’économie nationale pour une meilleure participation de la Centrafrique ».
M. Mbringa a, pour sa part, relevé que « l’appui des partenaires n’est rien si les efforts des acteurs impliqués dans le processus ne sont pas à la hauteur des attentes.»
Selon lui, «l’ampleur des problèmes de la pauvreté est telle que le succès dans une telle œuvre dépend de la somme des contributions effectives et efficaces du gouvernement centrafricain, de la société civile, dans leurs structures opérationnelles.
Il convient d’ajouter que les études approfondies portent entre autres sur les secteurs agricole, forestier, minier et du tourisme ainsi que ceux des finances et des transports.
Il faut signaler que la consultante du Pnud Sénégal, Mme. Christine Fernandez, et le consultant international, M. Vincent Biandé, ont joué le rôle de facilitateurs des travaux de cet atelier de validation, qui prendront fin le 08 novembre prochain.
L’appui financier et technique du Pnud et de la Banque Mondiale a permis au ministère du Commerce d’organiser cet atelier de validation, qui a mobilisé une centaine de cadres des différents départements ministériels pour examiner entre autres le système statistique national, le développement du secteur privé et l’environnement des affaires, la politique commerciale, les institutions commerciales et l’accès aux marchés ainsi que la facilitation du commerce et le transport.
M. Moyouana a déclaré à cette occasion que « le cadre intégré est un processus qui permet aux pays moins avancés (PMA) d’améliorer leur capacité à formuler, négocier et mettre en œuvre des politiques commerciales, de façon à s’intégrer pleinement dans le système commercial ».
Il permet en effet, selon lui, de saisir les opportunités de marché qu’il offre, d’intégrer le commerce dans les documents de stratégie pour réduction de la pauvreté (DSRP) et de contribuer à la fourniture coordonnée de l’assistance technique liée au commerce.
Il a enfin noté que le présent atelier « offre au gouvernement centrafricain et aux acteurs du commerce l’opportunité de déterminer, en collaboration avec les partenaires au développement, les stratégies à adopter pour une pleine intégration du commerce dans l’économie nationale pour une meilleure participation de la Centrafrique ».
M. Mbringa a, pour sa part, relevé que « l’appui des partenaires n’est rien si les efforts des acteurs impliqués dans le processus ne sont pas à la hauteur des attentes.»
Selon lui, «l’ampleur des problèmes de la pauvreté est telle que le succès dans une telle œuvre dépend de la somme des contributions effectives et efficaces du gouvernement centrafricain, de la société civile, dans leurs structures opérationnelles.
Il convient d’ajouter que les études approfondies portent entre autres sur les secteurs agricole, forestier, minier et du tourisme ainsi que ceux des finances et des transports.
Il faut signaler que la consultante du Pnud Sénégal, Mme. Christine Fernandez, et le consultant international, M. Vincent Biandé, ont joué le rôle de facilitateurs des travaux de cet atelier de validation, qui prendront fin le 08 novembre prochain.