Participaient également à ces réunions les pays voisins, à savoir l'Algérie et la Mauritanie, a rappelé la porte-parole du secrétaire général, Michèle Montas, lors de son point de presse
quotidien, au siège de l'ONU, à New York.
Lors de ses remarques introductives, l'envoyé personnel du Secrétaire général, Peter van Walsum, a rappelé aux parties les termes de la résolution 1783 du Conseil de sécurité qui appelle les parties à faire preuve de volonté politique pour assurer le succès des né gociations, à négocier de bonne foi et à travailler dans une atmosphère favorable au dialogue.
L'envoyé de l'ONU menait aussi des discussions bilatérales avec les parties et les Etats voisins.Hier, le Secrétaire général a appelé les parties à faire plein usage de cette semaine de
pourparlers pour commencer à s'orienter vers une phase de discussions plus intensive et substantielle.
Des discussions ont déjà eu lieu entre le Maroc et le Front POLISARIO en juin et août 2007.Le 31 octobre dernier, le Conseil de sécurité avait demandé aux parties de poursuivre les négociations sous les auspices du Secrétaire géné ral, sans conditions préalables et de bonne foi.
La Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO) rappelle que la situation dans la région a fait l 'objet de nombreux débats et a
conduit à l'adoption de plus de 70 résolutions aux Nations Unies.
Le Sahara occidental est un territoire de la côte Nord-Ouest de l'Afrique, limitrophe du Maroc, de la Mauritanie et de l'Algérie.
Il était sous administration espagnole jusqu'en 1976.
Le Maroc et la Mauritanie l'ont tous deux revendiqué, revendication à laquelle s′oppose le Front POLISARIO.
Les Nations Unies ont cherché un règlement de la question du Sahara occidental depuis que l′Espagne s′est retirée du territoire en 1976 et que, suite à cela, des combats ont éclaté entre le Maroc - qui a décidé de "réintégrer" le Sahara occidental à son territoire - et le Front POLISARIO, soutenu par l'Algérie. La Mauritanie a quant à elle renoncé à toute prétention sur le Sahara occidental en 1979.
A la suite d'un accord entre le gouvernement du Maroc et le Front POLISARIO, la MINURSO a été déployée en septembre 1991 afin de surveiller le cessez-le-feu et d'organiser un référendum qui permettrait aux habitants du Sahara occidental habilités à voter
de décider du statut futur du territoire. Fin
quotidien, au siège de l'ONU, à New York.
Lors de ses remarques introductives, l'envoyé personnel du Secrétaire général, Peter van Walsum, a rappelé aux parties les termes de la résolution 1783 du Conseil de sécurité qui appelle les parties à faire preuve de volonté politique pour assurer le succès des né gociations, à négocier de bonne foi et à travailler dans une atmosphère favorable au dialogue.
L'envoyé de l'ONU menait aussi des discussions bilatérales avec les parties et les Etats voisins.Hier, le Secrétaire général a appelé les parties à faire plein usage de cette semaine de
pourparlers pour commencer à s'orienter vers une phase de discussions plus intensive et substantielle.
Des discussions ont déjà eu lieu entre le Maroc et le Front POLISARIO en juin et août 2007.Le 31 octobre dernier, le Conseil de sécurité avait demandé aux parties de poursuivre les négociations sous les auspices du Secrétaire géné ral, sans conditions préalables et de bonne foi.
La Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO) rappelle que la situation dans la région a fait l 'objet de nombreux débats et a
conduit à l'adoption de plus de 70 résolutions aux Nations Unies.
Le Sahara occidental est un territoire de la côte Nord-Ouest de l'Afrique, limitrophe du Maroc, de la Mauritanie et de l'Algérie.
Il était sous administration espagnole jusqu'en 1976.
Le Maroc et la Mauritanie l'ont tous deux revendiqué, revendication à laquelle s′oppose le Front POLISARIO.
Les Nations Unies ont cherché un règlement de la question du Sahara occidental depuis que l′Espagne s′est retirée du territoire en 1976 et que, suite à cela, des combats ont éclaté entre le Maroc - qui a décidé de "réintégrer" le Sahara occidental à son territoire - et le Front POLISARIO, soutenu par l'Algérie. La Mauritanie a quant à elle renoncé à toute prétention sur le Sahara occidental en 1979.
A la suite d'un accord entre le gouvernement du Maroc et le Front POLISARIO, la MINURSO a été déployée en septembre 1991 afin de surveiller le cessez-le-feu et d'organiser un référendum qui permettrait aux habitants du Sahara occidental habilités à voter
de décider du statut futur du territoire. Fin