Le sommet de trois jours a pour thème "Investir dans l'agriculture pour la croissance économique et la sécurité alimentire" dans le continent le plus pauvre du monde.
La secrétaire générale ajointe de l'ONU, Asha-Rose Migiro a déclaré à l'ouverture du sommet que plus de la moitié des Africains vivent dans une extrême pauvreté, invitant les dirigeants africains à profiter de ce sommet pour mobiliser l'action pour protéger les plus pauvres et les plus vulnérables et empêcher d'autres de rejoindre leurs rangs.
Elle a souligné l'importance d'investir dans l'agriculture, disant qu'elle crée les emplois et contribue à une croissance économique plus durable, et peut accroître la sécurité alimentaire et nutritionnelle.
Elle a appelé les pays africains à mettre en place leurs stratégies nationales de développement agricole et à honorer leurs promesses d'augmenter les dépenses agricoles à 10% de leurs budgets nationaux.
Les pays africains ont promis d'allouer 10% de leurs budgets nationaux à l'agriculture, mais seuls quelques pays ont rempli leurs promesses jusqu'à ce jour.
L'UA a choisi l'investissement agricole comme l'un des thèmes de leur sommet en raison de la crise financière et alimentaire de l'année dernière, à partir desquelles les dirigeants africains ont compris que l'agriculture joue un rôle clé dans la croissance économique et la sécurité alimentaire du continent.
Le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, a estimé de son côté que le choix du développement de l'agriculture et de la sécurité alimentaire comme thèmes de ce sommet est "une réponse sage" à des besoins réels de l'Afrique', notant que 265 millions de personnes en Afrique subsaharienne souffrent de la faim, soit une hausse de près de 12% par rapport à l'année dernière.
Au cours des deux dernières années, les experts de l'UA et de la Ligue arabe ont mené des recherches sur les plans conjoints au sujet de l'agriculture et de la sécurité alimentaire. "Nous travaillons à la tenue d'une réunion ministérielle UA-LA pour élaborer ces plans", a dit M. Moussa.
Le président de la Commission de l'UA, Jean Ping, a émis l'espoir que les dirigeants africains pourraient renforcer le profil de la pan-Afrique dans la résolution des différends internationaux.
La secrétaire générale adjointe de l'ONU a mis en garde contre les énormes défis à la paix et à la stabilité politique auxquels font face certains pays africains, appelant à des efforts communs pour mettre un terme aux violences et aux conflits sur le continent africain.
Au cours de leur rencontre à Syrte, les dirigeant africains doivent discuter notamment des moyens de renforcer le rôle de l'UA dans la prévention, la gestion et la résolution des différenes électoraux et des conflits sur le continent, selon l'ordre du jour du sommet.
Ils examineront également les moyens de prévenir les changements anticonstitutionneles de gouvernements et de renforcer la capacité de l'UA pour faire face à de telles situations.
Ils discuteront aussi de la situation de sécurité en Mauritanie, en Somalie, au Zimbabwe et au Darfour.
Selon une déclaration publiée par l'UA, l'organisation pan- africaine a décidé de lever les sanctions contre la Mauritanie, sanctions imposées l'année dernière suite à un coup d'Etat dans ce pays africain.
Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva et le Premier ministre italien Silvio Berlusconi, dont le pays doit accueillir la semaine prochaine le sommet du G8, sont également présents au sommet de l'UA.
La secrétaire générale ajointe de l'ONU, Asha-Rose Migiro a déclaré à l'ouverture du sommet que plus de la moitié des Africains vivent dans une extrême pauvreté, invitant les dirigeants africains à profiter de ce sommet pour mobiliser l'action pour protéger les plus pauvres et les plus vulnérables et empêcher d'autres de rejoindre leurs rangs.
Elle a souligné l'importance d'investir dans l'agriculture, disant qu'elle crée les emplois et contribue à une croissance économique plus durable, et peut accroître la sécurité alimentaire et nutritionnelle.
Elle a appelé les pays africains à mettre en place leurs stratégies nationales de développement agricole et à honorer leurs promesses d'augmenter les dépenses agricoles à 10% de leurs budgets nationaux.
Les pays africains ont promis d'allouer 10% de leurs budgets nationaux à l'agriculture, mais seuls quelques pays ont rempli leurs promesses jusqu'à ce jour.
L'UA a choisi l'investissement agricole comme l'un des thèmes de leur sommet en raison de la crise financière et alimentaire de l'année dernière, à partir desquelles les dirigeants africains ont compris que l'agriculture joue un rôle clé dans la croissance économique et la sécurité alimentaire du continent.
Le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, a estimé de son côté que le choix du développement de l'agriculture et de la sécurité alimentaire comme thèmes de ce sommet est "une réponse sage" à des besoins réels de l'Afrique', notant que 265 millions de personnes en Afrique subsaharienne souffrent de la faim, soit une hausse de près de 12% par rapport à l'année dernière.
Au cours des deux dernières années, les experts de l'UA et de la Ligue arabe ont mené des recherches sur les plans conjoints au sujet de l'agriculture et de la sécurité alimentaire. "Nous travaillons à la tenue d'une réunion ministérielle UA-LA pour élaborer ces plans", a dit M. Moussa.
Le président de la Commission de l'UA, Jean Ping, a émis l'espoir que les dirigeants africains pourraient renforcer le profil de la pan-Afrique dans la résolution des différends internationaux.
La secrétaire générale adjointe de l'ONU a mis en garde contre les énormes défis à la paix et à la stabilité politique auxquels font face certains pays africains, appelant à des efforts communs pour mettre un terme aux violences et aux conflits sur le continent africain.
Au cours de leur rencontre à Syrte, les dirigeant africains doivent discuter notamment des moyens de renforcer le rôle de l'UA dans la prévention, la gestion et la résolution des différenes électoraux et des conflits sur le continent, selon l'ordre du jour du sommet.
Ils examineront également les moyens de prévenir les changements anticonstitutionneles de gouvernements et de renforcer la capacité de l'UA pour faire face à de telles situations.
Ils discuteront aussi de la situation de sécurité en Mauritanie, en Somalie, au Zimbabwe et au Darfour.
Selon une déclaration publiée par l'UA, l'organisation pan- africaine a décidé de lever les sanctions contre la Mauritanie, sanctions imposées l'année dernière suite à un coup d'Etat dans ce pays africain.
Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva et le Premier ministre italien Silvio Berlusconi, dont le pays doit accueillir la semaine prochaine le sommet du G8, sont également présents au sommet de l'UA.