Le président de la Commission de la CEMAC, Daniel Ona Ondo
Les experts des six pays membres de l’UEAC qui composent le Comité Inter-Etats ont entamé, mercredi 6 Février 2019, l’examen des dossiers décisifs pour l’accélération de l’intégration dans la sous-région, à savoir le budget 2019 de la Commission tel que réaménagé, le règlement intérieur du Comité Inter-Etats, les règles d’organisation et de fonctionnement du Conseil des ministres, la liquidation de la Cour de Justice de la CEMAC en cessation d’activités depuis peu et l’adoption d’un nouveau code douanier pour les six Etats Membres, indique une note d’information de l’organisation.
Dans son discours inaugural, le président de la Commission de la CEMAC, Pr. Daniel Ona Ondo, a détaillé les dix raisons à l’origine du projet de révision du budget 2019 pour passer de 75 milliards à 81 milliards de francs CFA et les allocations qui seront faites des 5,8 milliards supplémentaires sollicités ainsi que des sources qui les financeront, précise la note.
Parmi ces raisons figurent la redynamisation du Fonds de Développement de la Communauté (FODEC), la mise en place d’un Observatoire du Climat des Affaires, l’organisation du Forum Agricole de la CEMAC, l’apurement partiel de la dette de la CEMAC, tout comme le financement d’un colloque sur l’avenir du franc CFA et l’ouverture d’une représentation conjointe permanente CEMAC-CEEAC auprès de l’Union Européenne à Bruxelles, souligne la note.
Il faut noter que les travaux du CIE, qui se poursuivent à huis-clos, sont censés prendre fin, mercredi 6 février en fin de journée et devraient déboucher sur des résolutions qui seront elles-mêmes soumises dès le 8 lévrier, à l’adoption des ministres de l’Economie de chacun des six pays de la CEMAC.
Dans son discours inaugural, le président de la Commission de la CEMAC, Pr. Daniel Ona Ondo, a détaillé les dix raisons à l’origine du projet de révision du budget 2019 pour passer de 75 milliards à 81 milliards de francs CFA et les allocations qui seront faites des 5,8 milliards supplémentaires sollicités ainsi que des sources qui les financeront, précise la note.
Parmi ces raisons figurent la redynamisation du Fonds de Développement de la Communauté (FODEC), la mise en place d’un Observatoire du Climat des Affaires, l’organisation du Forum Agricole de la CEMAC, l’apurement partiel de la dette de la CEMAC, tout comme le financement d’un colloque sur l’avenir du franc CFA et l’ouverture d’une représentation conjointe permanente CEMAC-CEEAC auprès de l’Union Européenne à Bruxelles, souligne la note.
Il faut noter que les travaux du CIE, qui se poursuivent à huis-clos, sont censés prendre fin, mercredi 6 février en fin de journée et devraient déboucher sur des résolutions qui seront elles-mêmes soumises dès le 8 lévrier, à l’adoption des ministres de l’Economie de chacun des six pays de la CEMAC.