
Au cours de ces assises, les participants qui sont tous des chrétiens catholiques seront édifiés sur les thématiques suivantes, la relation entre l’Eglise et la Société Saint Vincent de Paul, la transparence dans la gestion du patrimoine de la de ladite société, la spiritualité et la vocation vincentienne, l’importance de l’archivage et la documentation.
A cet effet, les membres de la SSVP vont saisir cette opportunité pour dresser le bilan de ce qu’ils ont fait pendant 50 ans, et qu’est ce qui doit être fait pour améliorer les choses afin d’avoir une société forte, qui va œuvrer auprès des plus démunis.
La Présidente nationale, Solange-Clémence Boméssé a exhorté les participants à être attentifs et créatifs afin qu’au sortir de ces états généraux, les jeunes prennent conscience des activités de la Société Saint Vincent de Paul en Centrafrique pour qu’elle devienne plus réaliste et rationnelle.
Mme. Boméssé a relevé que « la SSVP de Centrafrique a travaillé dans un contexte politique marqué par des multiples crises militaro-politiques qui ont engendré une certaine instabilité et une insécurité dans l’arrière-pays. Cette situation a entrainé une crise humanitaire endémique et une précarité sociale pour les populations vulnérables, notamment les veuves, les orphelins et les personnes de 3ème âge ».
Elle a soutenu que c’est dans ce contexte politique difficile que la Société Saint Vincent de Paul a créé des structures d’encadrement à savoir, la Conférence et le Conseil qui ont été mises en place pour être au service des pauvres.
Il convient de rappeler que la Société Saint Vincent de Paul a été créée en République Centrafricaine le 9 septembre 1972 en la paroisse Saint Sauveur. Elle prône l’idéologie du bien heureux Fréderic Osanam qui est d’enserrer le monde entier dans un réseau de charité.
A cet effet, les membres de la SSVP vont saisir cette opportunité pour dresser le bilan de ce qu’ils ont fait pendant 50 ans, et qu’est ce qui doit être fait pour améliorer les choses afin d’avoir une société forte, qui va œuvrer auprès des plus démunis.
La Présidente nationale, Solange-Clémence Boméssé a exhorté les participants à être attentifs et créatifs afin qu’au sortir de ces états généraux, les jeunes prennent conscience des activités de la Société Saint Vincent de Paul en Centrafrique pour qu’elle devienne plus réaliste et rationnelle.
Mme. Boméssé a relevé que « la SSVP de Centrafrique a travaillé dans un contexte politique marqué par des multiples crises militaro-politiques qui ont engendré une certaine instabilité et une insécurité dans l’arrière-pays. Cette situation a entrainé une crise humanitaire endémique et une précarité sociale pour les populations vulnérables, notamment les veuves, les orphelins et les personnes de 3ème âge ».
Elle a soutenu que c’est dans ce contexte politique difficile que la Société Saint Vincent de Paul a créé des structures d’encadrement à savoir, la Conférence et le Conseil qui ont été mises en place pour être au service des pauvres.
Il convient de rappeler que la Société Saint Vincent de Paul a été créée en République Centrafricaine le 9 septembre 1972 en la paroisse Saint Sauveur. Elle prône l’idéologie du bien heureux Fréderic Osanam qui est d’enserrer le monde entier dans un réseau de charité.