Invité dans le cadre du partenariat entre l’Université Marien Ngouabi de Brazzaville et celle de Bangui, le Professeur Abraham Constant Ndinga-Mbo s’est réjoui de la reprise de coopération entre ces deux institutions.
«Je puis vous assurer que le Recteur de l’Université Marien Ngouabi attend beaucoup de cette mission que j’assure présentement, je lui ferai un compte rendu exhaustif », a fait déclaré le Professeur Ndinga-Mbo.
Pour lui, les universités de l’Afrique Centrale devraient travailler dans un cadre de partenariat formel en vue de promouvoir la culture de l’excellence dans l’espace de la Communauté économique et monétaire des Etats de l’Afrique Centrale (Cemac), à l’exemple des pays de l’ Afrique de l’Ouest réunis dans la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao).
« Il est gênant de rendre compte que dans notre sous-région, l’Afrique Centrale, ce qu’on appelle l’espace Cemac, nos universités ne puissent pas bénéficier des compétences académiques de leurs voisins, comme il en est le cas en Afrique occidentale », a déploré le Professeur Ndinga-Mbo.
Selon lui, le Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (Cames) parait comme « le fruit d’une coopération bien comprise par les collègues de cette zone géographique, c’est-à-dire de l’espace Cedeao ».
Il faut signaler que deux étudiants inscrits au programme de ces soutenances de la 2ème promotion de Master2 en Histoire et Civilisations de l’Université de Bangui, ont défendu leurs travaux, dont les résultats seront rendus publics, vendredi 10 octobre, par le président du jury , le Professeur Abraham Constant Ndinga-Mbo.
Il s’agit notamment de MM. Henri Clotaire Kérébi qui a soutenu sur la « Problématique de l’application des lois sociales en Centrafrique de 1960 à 1979 » et Guy Tampon sur « Bokassa et la presse de 1966 à 1979 ».
«Je puis vous assurer que le Recteur de l’Université Marien Ngouabi attend beaucoup de cette mission que j’assure présentement, je lui ferai un compte rendu exhaustif », a fait déclaré le Professeur Ndinga-Mbo.
Pour lui, les universités de l’Afrique Centrale devraient travailler dans un cadre de partenariat formel en vue de promouvoir la culture de l’excellence dans l’espace de la Communauté économique et monétaire des Etats de l’Afrique Centrale (Cemac), à l’exemple des pays de l’ Afrique de l’Ouest réunis dans la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao).
« Il est gênant de rendre compte que dans notre sous-région, l’Afrique Centrale, ce qu’on appelle l’espace Cemac, nos universités ne puissent pas bénéficier des compétences académiques de leurs voisins, comme il en est le cas en Afrique occidentale », a déploré le Professeur Ndinga-Mbo.
Selon lui, le Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (Cames) parait comme « le fruit d’une coopération bien comprise par les collègues de cette zone géographique, c’est-à-dire de l’espace Cedeao ».
Il faut signaler que deux étudiants inscrits au programme de ces soutenances de la 2ème promotion de Master2 en Histoire et Civilisations de l’Université de Bangui, ont défendu leurs travaux, dont les résultats seront rendus publics, vendredi 10 octobre, par le président du jury , le Professeur Abraham Constant Ndinga-Mbo.
Il s’agit notamment de MM. Henri Clotaire Kérébi qui a soutenu sur la « Problématique de l’application des lois sociales en Centrafrique de 1960 à 1979 » et Guy Tampon sur « Bokassa et la presse de 1966 à 1979 ».