A partir d'aujourd'hui et jusqu'au 26 juin, les responsables politiques du monde entier se réunissent au siège de l'ONU pour discuter de la crise économique et financière. Durant trois jours, ils prendront la mesure de « la plus grave récession économique qu'ait connue le monde depuis la grande crise des années 30 ».
Ils auront également à définir leur réaction immédiate, à trouver les mesures à long terme qui atténueront les effets qu'exerce la crise, notamment sur les populations vulnérables, et à procéder à l'échange de vues que cela suppose, « en vue de transformer l'architecture financière internationale au regard des besoins et des préoccupations de tous les États Membres ».
Ce sommet de haut niveau des Nations Unies fait suite à la Conférence internationale sur le financement du développement tenue en décembre 2008 à Doha (Qatar). Les États Membres ont prié le président de l'Assemblée générale, Miguel d'Escoto Brockmann, d'organiser une réunion « au plus haut niveau ».
La Conférence prendra la forme de sessions plénières et de quatre tables rondes, où pourront échanger leurs vues les dirigeants et les représentants du système des Nations Unies, dont la Banque mondiale et le Fonds monétaire international, ainsi que les représentants des associations civiles et du secteur privé.
« Nous avons l'occasion historique et la responsabilité collective de donner à l'ordre financier et économique du monde une nouvelle stabilité et une durabilité inédite », a récemment déclaré le président de l'Assemblée générale, Miguel d'Escoto Brockmann qui a pronostiqué mardi qu'il s'agira d'« une Conférence à la hauteur de la gravité de la crise qui frappe le monde actuel ».
Les thèmes de la conférence en sont l'impact de la crise sur l'emploi, le commerce, les investissements et le développement; les mesures appropriées pour atténuer l'impact de la crise sur le développement; le rôle de l'ONU dans les discussions internationales sur la réforme et le renforcement de l'architecture économique et financière internationale; et les contributions du système des Nations Unies dans la réponse à la crise.
Ils auront également à définir leur réaction immédiate, à trouver les mesures à long terme qui atténueront les effets qu'exerce la crise, notamment sur les populations vulnérables, et à procéder à l'échange de vues que cela suppose, « en vue de transformer l'architecture financière internationale au regard des besoins et des préoccupations de tous les États Membres ».
Ce sommet de haut niveau des Nations Unies fait suite à la Conférence internationale sur le financement du développement tenue en décembre 2008 à Doha (Qatar). Les États Membres ont prié le président de l'Assemblée générale, Miguel d'Escoto Brockmann, d'organiser une réunion « au plus haut niveau ».
La Conférence prendra la forme de sessions plénières et de quatre tables rondes, où pourront échanger leurs vues les dirigeants et les représentants du système des Nations Unies, dont la Banque mondiale et le Fonds monétaire international, ainsi que les représentants des associations civiles et du secteur privé.
« Nous avons l'occasion historique et la responsabilité collective de donner à l'ordre financier et économique du monde une nouvelle stabilité et une durabilité inédite », a récemment déclaré le président de l'Assemblée générale, Miguel d'Escoto Brockmann qui a pronostiqué mardi qu'il s'agira d'« une Conférence à la hauteur de la gravité de la crise qui frappe le monde actuel ».
Les thèmes de la conférence en sont l'impact de la crise sur l'emploi, le commerce, les investissements et le développement; les mesures appropriées pour atténuer l'impact de la crise sur le développement; le rôle de l'ONU dans les discussions internationales sur la réforme et le renforcement de l'architecture économique et financière internationale; et les contributions du système des Nations Unies dans la réponse à la crise.