Organisé par l’Association « Ngongo Culture » en partenariat avec le ministère de la Jeunesse des Sports, des Arts et de la Culture, l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), la Mairie de Bangui et l’Alliance Française de Bangui, ce festival qui a mobilisé les artistes nationaux et internationaux, vise à développer les Arts et la Culture, à promouvoir les œuvres artistiques centrafricaines et africaines en vue de développer les échanges culturels africains.
« Ce festival constitue une plate forme d’expression artistique et culturelle nationale, régionale et internationale », a précisé le chargé de mission en matière de la Jeunesse et des Sports, Anthime Goumba.
Le chargé de mission, Anthime Goumba a fait savoir que « le développement d’un pays n’est pas le seul fait de l’exploitation des ressources minières et forestières, mais aussi la prise en compte des dimensions culturelles qui concilient et placent l’homme au centre de toute préoccupation ».
« Aujourd’hui avec l’avènement de la mondialisation et des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC), un peuple sans culture, est à la marge de toute mutation qui se fait à une vitesse de croisière. A cet effet, la population centrafricaine doit profiter de cette opportunité pour faire face aux nombreux défis auxquels elle est confrontée notamment l’acculturation », a-t-il relevé.
Il faut signaler que les manifestations de la 4ème édition du festival international des Arts et de la Culture (FIAC), ont été agrémentées par les groupes de danse folklorique de Bangui et ceux venus de quelques préfectures.
« Ce festival constitue une plate forme d’expression artistique et culturelle nationale, régionale et internationale », a précisé le chargé de mission en matière de la Jeunesse et des Sports, Anthime Goumba.
Le chargé de mission, Anthime Goumba a fait savoir que « le développement d’un pays n’est pas le seul fait de l’exploitation des ressources minières et forestières, mais aussi la prise en compte des dimensions culturelles qui concilient et placent l’homme au centre de toute préoccupation ».
« Aujourd’hui avec l’avènement de la mondialisation et des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC), un peuple sans culture, est à la marge de toute mutation qui se fait à une vitesse de croisière. A cet effet, la population centrafricaine doit profiter de cette opportunité pour faire face aux nombreux défis auxquels elle est confrontée notamment l’acculturation », a-t-il relevé.
Il faut signaler que les manifestations de la 4ème édition du festival international des Arts et de la Culture (FIAC), ont été agrémentées par les groupes de danse folklorique de Bangui et ceux venus de quelques préfectures.