Cette Assemblée générale a pour importance, d’identifier les bonnes pratiques de celles qui n’honorent pas le corps et proposer des solutions idoines pour l’amélioration des conditions de travail afin de répondre aux préoccupations des concitoyens pour une justice de qualité.
Trois principaux thématiques ont été retenues pour cette assise à savoir, la surpopulation carcérale face à l’obligation de diligence des Magistrats; le rôle de l’huissier de justice dans l’exécution des actes juridictionnels et l’utilisation des réseaux sociaux par les acteurs judiciaires.
Le ministre de la Justice, Arnaud Djoubaye-Abazène, a souligné la pertinence de ces thématiques, il a exhorté tous les acteurs judiciaires à cerner la quintessence pour identifier leurs faiblesses ou lacunes, dans la perspective de changer la perception que les concitoyens font de la justice centrafricaine.
Ce dernier a évoqué qu’au cours de l’année judiciaire qui vient de s’achever, il a observé une amélioration considérable tant dans le fonctionnement des juridictions ordinaires que dans celui de la Cour Pénale Spéciale, en passant par l’observation de certaines exigences relatives à l’obligation de résidence dont les statistiques le rassure de l’effectivité de la présence des Magistrats, des Greffiers et des Cadres de l’Administration Pénitentiaire dans leurs juridictions respectives
« Est-il besoin de rappeler que c’est à ce juste titre , que Son Excellence Professeur Faustin Archange TOUADERA, Président de la République, Chef de l’État a pour la première fois, félicité et encouragé les acteurs judiciaires non seulement, pour les résultats obtenus, mais surtout, pour avoir compris sa vision et l’intérêt particulier qu’il accorde à la place de la justice, socle de la cohésion sociale et du développement durable de notre pays. », a soutenu le ministre.
Par ailleurs, il ne perd pas de vue les graves manquements aux devoirs de certains acteurs judiciaires étant donné que la lutte contre l’impunité concerne tout le monde, il n’a pas hésité de saisir les organes disciplinaires compétents, pour engager des procédures conformément à la loi.
Cependant, le ministre d’Etat Chargé de la Justice a fait savoir que la lutte contre l’impunité ne concerne pas seulement les fautes disciplinaires, elle vise également la corruption et le détournement des deniers publics dont les auteurs et complices doivent être démasqués, poursuivis et traduits en justice.
« Pour mettre un terme à ces pratiques, j’instruis les Chefs des Cours et l’Inspecteur Général des Services Judiciaires de me fournir les éléments nécessaires aux fins d’engager des poursuites disciplinaires pour ces manquements », a-t-il conclu.
Notons que l’Assemblée générale des Magistrats et Juges, est de tradition organisée après l’audience solennelle de la rentrée des Cours et Tribunaux de la République Centrafricaine afin d’évaluer les activités réalisées, les faiblesses et les défis à relever d’une part, et d’autre part, de débattre des questions liées à l’évolution de leur carrière et à l’indispensable préoccupation de protection fonctionnelle du corps.
Trois principaux thématiques ont été retenues pour cette assise à savoir, la surpopulation carcérale face à l’obligation de diligence des Magistrats; le rôle de l’huissier de justice dans l’exécution des actes juridictionnels et l’utilisation des réseaux sociaux par les acteurs judiciaires.
Le ministre de la Justice, Arnaud Djoubaye-Abazène, a souligné la pertinence de ces thématiques, il a exhorté tous les acteurs judiciaires à cerner la quintessence pour identifier leurs faiblesses ou lacunes, dans la perspective de changer la perception que les concitoyens font de la justice centrafricaine.
Ce dernier a évoqué qu’au cours de l’année judiciaire qui vient de s’achever, il a observé une amélioration considérable tant dans le fonctionnement des juridictions ordinaires que dans celui de la Cour Pénale Spéciale, en passant par l’observation de certaines exigences relatives à l’obligation de résidence dont les statistiques le rassure de l’effectivité de la présence des Magistrats, des Greffiers et des Cadres de l’Administration Pénitentiaire dans leurs juridictions respectives
« Est-il besoin de rappeler que c’est à ce juste titre , que Son Excellence Professeur Faustin Archange TOUADERA, Président de la République, Chef de l’État a pour la première fois, félicité et encouragé les acteurs judiciaires non seulement, pour les résultats obtenus, mais surtout, pour avoir compris sa vision et l’intérêt particulier qu’il accorde à la place de la justice, socle de la cohésion sociale et du développement durable de notre pays. », a soutenu le ministre.
Par ailleurs, il ne perd pas de vue les graves manquements aux devoirs de certains acteurs judiciaires étant donné que la lutte contre l’impunité concerne tout le monde, il n’a pas hésité de saisir les organes disciplinaires compétents, pour engager des procédures conformément à la loi.
Cependant, le ministre d’Etat Chargé de la Justice a fait savoir que la lutte contre l’impunité ne concerne pas seulement les fautes disciplinaires, elle vise également la corruption et le détournement des deniers publics dont les auteurs et complices doivent être démasqués, poursuivis et traduits en justice.
« Pour mettre un terme à ces pratiques, j’instruis les Chefs des Cours et l’Inspecteur Général des Services Judiciaires de me fournir les éléments nécessaires aux fins d’engager des poursuites disciplinaires pour ces manquements », a-t-il conclu.
Notons que l’Assemblée générale des Magistrats et Juges, est de tradition organisée après l’audience solennelle de la rentrée des Cours et Tribunaux de la République Centrafricaine afin d’évaluer les activités réalisées, les faiblesses et les défis à relever d’une part, et d’autre part, de débattre des questions liées à l’évolution de leur carrière et à l’indispensable préoccupation de protection fonctionnelle du corps.