Cet atelier vise à réviser et à actualiser le code de bonne conduite de 2005, à l’intention des parties prenantes au processus électoral et à la vie de la République Centrafricaine afin de l’adapter aux consultations populaires de 2011.
Mme Samapanza a précisé que la relecture de l’ancien code de bonne conduite de 2005 permet de redéfinir un cadre d’esprit et de comportement responsable adapté aux élections de janvier 2011, en Centrafrique
« Le Code de bonne Conduite est un document de régulation, des différents comportements, qui doit guider le bon déroulement des élections législatives et présidentielle dans notre pays », a expliqué la Conseillère Catherine Samapanza.
Signalons que cet atelier est organisé par le conseil national de la médiation avec le concours financier et technique du Bureau Intégré des Nations Unies en Centrafrique (BINUCA) et de l’organisation Internationale de la Francophonie (OIF).
Il est à noter que cet atelier a rassemblé quarante huit (48) participants de toutes les couches sociales confondues et les représentants des candidats à l’élection présidentielle.
Il faut rappeler qu’en 2005 un code de bonne conduite avait été élaboré pour régler un certain nombre de problèmes liés au contexte de l’époque.
Mme Samapanza a précisé que la relecture de l’ancien code de bonne conduite de 2005 permet de redéfinir un cadre d’esprit et de comportement responsable adapté aux élections de janvier 2011, en Centrafrique
« Le Code de bonne Conduite est un document de régulation, des différents comportements, qui doit guider le bon déroulement des élections législatives et présidentielle dans notre pays », a expliqué la Conseillère Catherine Samapanza.
Signalons que cet atelier est organisé par le conseil national de la médiation avec le concours financier et technique du Bureau Intégré des Nations Unies en Centrafrique (BINUCA) et de l’organisation Internationale de la Francophonie (OIF).
Il est à noter que cet atelier a rassemblé quarante huit (48) participants de toutes les couches sociales confondues et les représentants des candidats à l’élection présidentielle.
Il faut rappeler qu’en 2005 un code de bonne conduite avait été élaboré pour régler un certain nombre de problèmes liés au contexte de l’époque.