Cet atelier a pour but d’outiller les acteurs judiciaires sur toutes les formes de VBG en vue de rendre justice aux victimes et de mettre fin à la honte, la peur, la stigmatisation dont lequel elles vivent.
La ministre Conseillère à la Présidence de la République en matière de la Protection de l’Enfant, Josiane Lina Bemakassoui, a rappelé que depuis plusieurs décennies, la Centrafrique est frappée par des conflits militaro-politiques marquée par des multiples atteintes aux droits humains et au droit international humanitaire.
« Parmi les victimes liés à cette crise, les femmes et les enfants constituent les premières personnes les plus vulnérables dont le viol est devenu une véritable arme de guerre », a poursuivi la Ministre conseillère Josiane Lina Bemakassoui.
Elle a par ailleurs souligné que le gouvernement centrafricain grâce aux précieux apports de ses partenaires techniques et financiers, a décidé de faire prévaloir la force du droit sur le droit de la force à travers des mécanismes politiques et judiciaires en vue de rechercher et d’identifier les commanditaires et en menant une lutte acharnée contre l’impunité.
La ministre conseillère Josiane Lina Bemakassoui, a fait savoir que le phénomène du VBG constitue un sujet d’inquiétude et appel au renforcement du dispositif de sanction et du prise en charge adéquate des victimes.
Il sied de signaler que cet atelier a mobilisé 80 acteurs judiciaires (Magistrats et les Officiers de Police Judiciaires) dont la moitié vont attendre la second phase dans les jours avenirs.
La ministre Conseillère à la Présidence de la République en matière de la Protection de l’Enfant, Josiane Lina Bemakassoui, a rappelé que depuis plusieurs décennies, la Centrafrique est frappée par des conflits militaro-politiques marquée par des multiples atteintes aux droits humains et au droit international humanitaire.
« Parmi les victimes liés à cette crise, les femmes et les enfants constituent les premières personnes les plus vulnérables dont le viol est devenu une véritable arme de guerre », a poursuivi la Ministre conseillère Josiane Lina Bemakassoui.
Elle a par ailleurs souligné que le gouvernement centrafricain grâce aux précieux apports de ses partenaires techniques et financiers, a décidé de faire prévaloir la force du droit sur le droit de la force à travers des mécanismes politiques et judiciaires en vue de rechercher et d’identifier les commanditaires et en menant une lutte acharnée contre l’impunité.
La ministre conseillère Josiane Lina Bemakassoui, a fait savoir que le phénomène du VBG constitue un sujet d’inquiétude et appel au renforcement du dispositif de sanction et du prise en charge adéquate des victimes.
Il sied de signaler que cet atelier a mobilisé 80 acteurs judiciaires (Magistrats et les Officiers de Police Judiciaires) dont la moitié vont attendre la second phase dans les jours avenirs.