L’enjeu de cette formation est d’apprendre aux jeunes centrafricains, civils ou militaires, l’importance de la natation en vue de venir en aide aux victimes de naufrage.
Le colonel Alfred Service a remercié la France et la fédération marocaine de natation qui ont contribué à la réussite de ce stage ainsi que le gouvernement centrafricain pour son appui multiforme sans lequel cette formation n’aurait pu se tenir.
Selon lui, ce stage de formation vient à point nommé car il permettra à la République centrafricaine de contrôler ses frontières perméables, notamment avec les deux Congo. Il a souligné que c’est une tâche de responsabilité qui s’apprend dans un métier dont il faut prendre à cœur les enseignements.
Pour Mr Dépit, attaché militaire auprès de l’Ambassade de France en Centrafrique, « c’est une discipline au profit de toute une nation, notamment frontalière avec un fleuve et avec le nombre des cours d’eaux, il est important que la Centrafrique se dote des nageurs pour intervenir au cas où le besoin se fait sentir », a-t-il expliqué.
Le président de la Fédération centrafricaine de sauvetage et de secourisme (FCSS), Thierry Vackat, député de Mongoumba, a remercié les instructeurs marocains et français qui ont accepté malgré leur agenda chargé de prêter mains fortes à ce stage.
Il convient de rappeler que cette formation qui regroupe 60 participants civils et militaires prendra fin le 10 août 2019 dans la capitale centrafricaine.
Le colonel Alfred Service a remercié la France et la fédération marocaine de natation qui ont contribué à la réussite de ce stage ainsi que le gouvernement centrafricain pour son appui multiforme sans lequel cette formation n’aurait pu se tenir.
Selon lui, ce stage de formation vient à point nommé car il permettra à la République centrafricaine de contrôler ses frontières perméables, notamment avec les deux Congo. Il a souligné que c’est une tâche de responsabilité qui s’apprend dans un métier dont il faut prendre à cœur les enseignements.
Pour Mr Dépit, attaché militaire auprès de l’Ambassade de France en Centrafrique, « c’est une discipline au profit de toute une nation, notamment frontalière avec un fleuve et avec le nombre des cours d’eaux, il est important que la Centrafrique se dote des nageurs pour intervenir au cas où le besoin se fait sentir », a-t-il expliqué.
Le président de la Fédération centrafricaine de sauvetage et de secourisme (FCSS), Thierry Vackat, député de Mongoumba, a remercié les instructeurs marocains et français qui ont accepté malgré leur agenda chargé de prêter mains fortes à ce stage.
Il convient de rappeler que cette formation qui regroupe 60 participants civils et militaires prendra fin le 10 août 2019 dans la capitale centrafricaine.