L’ordre du jour de cette 6ème session s’articulait autour de l’adoption du programme de la session, la lecture du compte rendu de la dernière session et l’analyse de l’état de la mise en œuvre des recommandations du Comité Exécutif de Suivi.
Selon le premier ministre, Firmin Ngrébada, 11 mois après la signature de cet accord entre le gouvernement et les groupes armés, il est important de mesurer les avancés et les points de blocage de l’Accord politique pour la paix et la réconciliation en Centrafrique.
« C’est dans cette perspective que nous devons analyser l’état de la mise en œuvre des recommandations du comité exécutif de suivi, analyser le régime de sanction prévu par l’article 35 de cet accord et évaluer les organes du mécanisme de la mise en œuvre et suivi de l’accord politique pour la paix et la réconciliation en Centrafrique » a déclaré le premier ministre, Firmin Ngrébada.
Quant au représentant du président de la Commission de l’Union Africaine, Matias Bertino Matondo, l’avancement de cet accord en ce qui concerne les sanctions prévues est une question préoccupante qui nécessite la vigilance de tous les acteurs dudit accord. Il a déploré la reprise des violations dans certaines parties du pays après une période d’observation.
Il a souhaité que des mesures fortes soient prises conformément au régime de sanctions établi. Il se dit très préoccupé des blocages qui risques de compromettre les efforts consentis.
Notons que la 6ème session du comité exécutif de suivi de l’accord politique pour la paix et la réconciliation en Centrafrique a été très participative grâce à la présence remarquée des partenaires internationaux du pays qui ont manifesté un envie particulier de soutenir le gouvernement dans ce processus.
Selon le premier ministre, Firmin Ngrébada, 11 mois après la signature de cet accord entre le gouvernement et les groupes armés, il est important de mesurer les avancés et les points de blocage de l’Accord politique pour la paix et la réconciliation en Centrafrique.
« C’est dans cette perspective que nous devons analyser l’état de la mise en œuvre des recommandations du comité exécutif de suivi, analyser le régime de sanction prévu par l’article 35 de cet accord et évaluer les organes du mécanisme de la mise en œuvre et suivi de l’accord politique pour la paix et la réconciliation en Centrafrique » a déclaré le premier ministre, Firmin Ngrébada.
Quant au représentant du président de la Commission de l’Union Africaine, Matias Bertino Matondo, l’avancement de cet accord en ce qui concerne les sanctions prévues est une question préoccupante qui nécessite la vigilance de tous les acteurs dudit accord. Il a déploré la reprise des violations dans certaines parties du pays après une période d’observation.
Il a souhaité que des mesures fortes soient prises conformément au régime de sanctions établi. Il se dit très préoccupé des blocages qui risques de compromettre les efforts consentis.
Notons que la 6ème session du comité exécutif de suivi de l’accord politique pour la paix et la réconciliation en Centrafrique a été très participative grâce à la présence remarquée des partenaires internationaux du pays qui ont manifesté un envie particulier de soutenir le gouvernement dans ce processus.