Léa Mokodopo s'adressant à la presse
Ce concours, qui se déroulera le 22 décembre 2018 à Bangui est ouvert aux jeunes filles âgées de dix huit à vingt deux (18 à 22) ans répondant à l’un des critères clés, à savoir « la beauté et l’intelligence d’abord ».
"Le concours est ouvert aux filles centrafricaine de toutes confessions religieuses. Les fiches d’inscription sont disponibles au bureau du comité du concours miss Centrafrique, au Musée Barthélémy Boganda. Nous demandons aux filles âgées de dix huit à vingt deux ans de sexe féminin intéressées par ce concours de venir s’inscrire", a précisé Léa Mokodopo.
"En province, les filles intéressées peuvent s’enregistrer au niveau de leurs mairies respectives et le concours de pré sélection va se dérouler dans les grandes villes comme Bambari, Bossangoa, Bangassou, Bouar. Nous avons également instauré la cohésion sociale pour permettre à toutes les communautés de participer à ce concours", a-t-elle expliqué.
Pour corriger les erreurs du passé, Léa Mokodopo a indiqué qu'il y aura également une enquête de moralité en vue d’avoir une fille capable de représenter valablement la République Centrafricaine au niveau national et international.
"Nous voulons prouver à l’opinion nationale et internationale qu’il y a la beauté et l’intelligence, contrairement à ce que disent les médias internationaux"
"Le concours est ouvert aux filles centrafricaine de toutes confessions religieuses. Les fiches d’inscription sont disponibles au bureau du comité du concours miss Centrafrique, au Musée Barthélémy Boganda. Nous demandons aux filles âgées de dix huit à vingt deux ans de sexe féminin intéressées par ce concours de venir s’inscrire", a précisé Léa Mokodopo.
"En province, les filles intéressées peuvent s’enregistrer au niveau de leurs mairies respectives et le concours de pré sélection va se dérouler dans les grandes villes comme Bambari, Bossangoa, Bangassou, Bouar. Nous avons également instauré la cohésion sociale pour permettre à toutes les communautés de participer à ce concours", a-t-elle expliqué.
Pour corriger les erreurs du passé, Léa Mokodopo a indiqué qu'il y aura également une enquête de moralité en vue d’avoir une fille capable de représenter valablement la République Centrafricaine au niveau national et international.
"Nous voulons prouver à l’opinion nationale et internationale qu’il y a la beauté et l’intelligence, contrairement à ce que disent les médias internationaux"