les conseillers centrafricains seront édifiés sur de nombreux thèmes, à savoir entre autres le nouveau modèle de développement du Maroc, de Singapour, l’avenir du franc CFA en Afrique centrale, l’agriculture centrafricaine(cas du Coton), le plan de relèvement pour la consolidation de la paix en Centrafrique (RCPCA), la place de la justice dans le relèvement économique et la réforme du secteur de sécurité (RSS).
M. Poloko a rappelé que, « en vertu des dispositions de la constitution qui stipulent que tous projets de loi à caractère économique, social, culturel et environnemental doivent recueillir obligatoirement l’avis préalable du CES avant son examen par l’Assemblée nationale, notre institution a examiné et a émis des avis sur quatorze projets de loi, transmis par le gouvernement ».
Selon lui, le vaste programme de diagnostique, d’analyse et de prospection initié par son institution qui s’étend sur douze mois permettra de solliciter des universitaires, des experts de toutes les disciplines jouissant d’une expérience avérée dans la gouvernance politique, sécuritaire, économique et financière des Etats ou institutions engagés ayant réussi des programmes similaires de réforme.
Il a exhorté les autorités centrafricaines à accorder des subventions aux entreprises sinistrées en vue d’offrir des emplois pour la jeune génération car, selon lui, de 1996 à ce jour, aucune subvention n’a été allouée pour le développement de l’Entreprenariat en Centrafrique.
Dans son intervention, le représentant du CES marocain, Moncef Ziani a exalté la parfaite coopération entre les deux institutions, expliquant « que l’intérêt de nos peuples réside dans la complémentarité et l’intégration régionale ».
« Pour favoriser et optimiser les retombées du co-développement en Afrique, le Conseil économique et social doit développer une synergie en s’appuyant sur les opportunités offertes par la chaîne internationale en terme de complémentarité d’apport de financements et de technologie".
Il faut souligner que la tenue de cette deuxième session ordinaire du Conseil économique et social est conforme aux prescriptions constitutionnelles et prendra fin le 14 août prochain.
M. Poloko a rappelé que, « en vertu des dispositions de la constitution qui stipulent que tous projets de loi à caractère économique, social, culturel et environnemental doivent recueillir obligatoirement l’avis préalable du CES avant son examen par l’Assemblée nationale, notre institution a examiné et a émis des avis sur quatorze projets de loi, transmis par le gouvernement ».
Selon lui, le vaste programme de diagnostique, d’analyse et de prospection initié par son institution qui s’étend sur douze mois permettra de solliciter des universitaires, des experts de toutes les disciplines jouissant d’une expérience avérée dans la gouvernance politique, sécuritaire, économique et financière des Etats ou institutions engagés ayant réussi des programmes similaires de réforme.
Il a exhorté les autorités centrafricaines à accorder des subventions aux entreprises sinistrées en vue d’offrir des emplois pour la jeune génération car, selon lui, de 1996 à ce jour, aucune subvention n’a été allouée pour le développement de l’Entreprenariat en Centrafrique.
Dans son intervention, le représentant du CES marocain, Moncef Ziani a exalté la parfaite coopération entre les deux institutions, expliquant « que l’intérêt de nos peuples réside dans la complémentarité et l’intégration régionale ».
« Pour favoriser et optimiser les retombées du co-développement en Afrique, le Conseil économique et social doit développer une synergie en s’appuyant sur les opportunités offertes par la chaîne internationale en terme de complémentarité d’apport de financements et de technologie".
Il faut souligner que la tenue de cette deuxième session ordinaire du Conseil économique et social est conforme aux prescriptions constitutionnelles et prendra fin le 14 août prochain.