Cette conférence de haut niveau a pour but de mener des réflexions pour le développement d’une feuille de route pour la transhumance apaisée, et mobiliser davantage les partenaires techniques et financiers autour des priorités pour sa mise en œuvre.
Le Président de la République, Faustin Archange Touadéra a souligné que : depuis plusieurs années la transhumance apparait à la fois comme une question d’intérêt majeur et en même temps, une grave préoccupation pour le gouvernement.
« La République Centrafrique dispose d’environ 16 milliards d’hectares de pâturage et d’un réseau hydraulique assez dense, et reparti sur l’ensemble du territoire, cela fait d’elle, un véritable jardin d’éden pour les éleveurs étrangers à la recherche de pâturage de qualité pour leur bétail » a soutenu le chef de l’Etat.
Il a indiqué que le statistique disponible à ce jour montre que : environ 12% du produit intérieur brut (PIB) Centrafricain, est représenté par l’élevage des bovins et contribue à hauteur de 25% au PIB du secteur agricole.
Selon le chef de l’état, en 2019 lors de la négociation de Khartoum (Soudan), le gouvernement et les autres parties prenantes se sont accordés pour reconnaitre que la question de la transhumance qui fait partie des facteurs d’insécurité en Centrafrique, constitue une grande priorité pour le gouvernement.
Pour sa part, la représentante spéciale du secrétaire général des Nations-Unies en République Centrafricaine, et cheffe de la MINUSCA Valentine Rugwabiza a souligné que « la conférence de haut niveau organisée par le gouvernement et son entité, contribue tant au développement national que celui des collectivités locales traversées par les couloirs de transhumance ».
Il est à noter que cette conférence nationale de haut niveau d’une journée, à mobiliser les membres du gouvernement, les Ambassadeurs chefs de missions diplomatiques, les Préfets, les sultanats et les maires des communes d’élevage en République Centrafricaine.
Le Président de la République, Faustin Archange Touadéra a souligné que : depuis plusieurs années la transhumance apparait à la fois comme une question d’intérêt majeur et en même temps, une grave préoccupation pour le gouvernement.
« La République Centrafrique dispose d’environ 16 milliards d’hectares de pâturage et d’un réseau hydraulique assez dense, et reparti sur l’ensemble du territoire, cela fait d’elle, un véritable jardin d’éden pour les éleveurs étrangers à la recherche de pâturage de qualité pour leur bétail » a soutenu le chef de l’Etat.
Il a indiqué que le statistique disponible à ce jour montre que : environ 12% du produit intérieur brut (PIB) Centrafricain, est représenté par l’élevage des bovins et contribue à hauteur de 25% au PIB du secteur agricole.
Selon le chef de l’état, en 2019 lors de la négociation de Khartoum (Soudan), le gouvernement et les autres parties prenantes se sont accordés pour reconnaitre que la question de la transhumance qui fait partie des facteurs d’insécurité en Centrafrique, constitue une grande priorité pour le gouvernement.
Pour sa part, la représentante spéciale du secrétaire général des Nations-Unies en République Centrafricaine, et cheffe de la MINUSCA Valentine Rugwabiza a souligné que « la conférence de haut niveau organisée par le gouvernement et son entité, contribue tant au développement national que celui des collectivités locales traversées par les couloirs de transhumance ».
Il est à noter que cette conférence nationale de haut niveau d’une journée, à mobiliser les membres du gouvernement, les Ambassadeurs chefs de missions diplomatiques, les Préfets, les sultanats et les maires des communes d’élevage en République Centrafricaine.