Organisé par le Conseil National de Crédit en partenariat avec l’Organisation Internationale de la Francophonie, ce symposium est une opportunité de formation et d’information sur les mécanismes de financement du système bancaire centrafricain ainsi que sur leur procédure de redressement judiciaire des entreprises en difficulté.
Le Chef du Gouvernement centrafricain a affirmé que ce symposium, avec les thématiques retenues, vient donc répondre aux faiblesses pour permettre aux petites et moyennes entreprises centrafricaines, au-delà des problèmes internes et de gouvernance qu’elles connaissent, de palier une certaine insuffisance pour assurer une saine et forte croissance de leur activité.
« L’emploi est créé par les PME ET PMI qui apportent des solutions efficaces à divers problèmes, notamment ceux qui concernent l’accès à l’énergie, à l’eau potable, au service de santé, à l’éducation, aux nouvelles technologies de l’information et de la communication », a précisé le chef du gouvernement.
Ainsi, offrir aux petites et moyennes entreprises et très petites entreprises de la RCA la possibilité de lancer et de développer leurs activités, revient à encourager une croissance économique inclusive et durable ainsi que les créations d’emplois décents et productifs, a ajouté Simplice Mathieu Sarandji.
« Cela contribue par conséquent très efficacement à mettre fin, à réduire considérablement, l’extrême pauvreté qui caractérise notre population et promouvoir une prospérité partagée », a conclu le premier ministre Sarandji.
Selon le ministre des Finances et du Budget, Henri-Marie Dondra, le thème de ce symposium vient à point nommé pour relancer le développement de notre économie basée entre autres sur le climat des affaires chers au président de la République, le professeur Faustin Archange Touadéra.
Pour le Directeur National de la BEAC, Ali Chaibou, les petites et moyennes entreprises jouent un important rôle économique et social par leur contribution à la création des richesses et d’emplois.
« De même, l’accès des PME au crédit bancaire, la fiabilité de leur système d’information, la facilité fiscale mise à leur disposition en cas de difficultés représente un enjeu majeur pour le développement du tissu économique national » a-t-il conclu.
Quant à madame Tatiana Yangoupandé, représentante du Secrétaire général de l’OIF, le relèvement de la RCA passe par le développement des entreprises, notamment chez les femmes et les jeunes.
« C’est précisément pour cette raison que son Organisation, à travers ses stratégies Jeunesses Économiques et Numériques, intervient pour permettre d’accroître le rôle central des femmes et des Jeunes dans le développement de nos Etats et de nos gouvernements », a-t-elle souligné.
Le Chef du Gouvernement centrafricain a affirmé que ce symposium, avec les thématiques retenues, vient donc répondre aux faiblesses pour permettre aux petites et moyennes entreprises centrafricaines, au-delà des problèmes internes et de gouvernance qu’elles connaissent, de palier une certaine insuffisance pour assurer une saine et forte croissance de leur activité.
« L’emploi est créé par les PME ET PMI qui apportent des solutions efficaces à divers problèmes, notamment ceux qui concernent l’accès à l’énergie, à l’eau potable, au service de santé, à l’éducation, aux nouvelles technologies de l’information et de la communication », a précisé le chef du gouvernement.
Ainsi, offrir aux petites et moyennes entreprises et très petites entreprises de la RCA la possibilité de lancer et de développer leurs activités, revient à encourager une croissance économique inclusive et durable ainsi que les créations d’emplois décents et productifs, a ajouté Simplice Mathieu Sarandji.
« Cela contribue par conséquent très efficacement à mettre fin, à réduire considérablement, l’extrême pauvreté qui caractérise notre population et promouvoir une prospérité partagée », a conclu le premier ministre Sarandji.
Selon le ministre des Finances et du Budget, Henri-Marie Dondra, le thème de ce symposium vient à point nommé pour relancer le développement de notre économie basée entre autres sur le climat des affaires chers au président de la République, le professeur Faustin Archange Touadéra.
Pour le Directeur National de la BEAC, Ali Chaibou, les petites et moyennes entreprises jouent un important rôle économique et social par leur contribution à la création des richesses et d’emplois.
« De même, l’accès des PME au crédit bancaire, la fiabilité de leur système d’information, la facilité fiscale mise à leur disposition en cas de difficultés représente un enjeu majeur pour le développement du tissu économique national » a-t-il conclu.
Quant à madame Tatiana Yangoupandé, représentante du Secrétaire général de l’OIF, le relèvement de la RCA passe par le développement des entreprises, notamment chez les femmes et les jeunes.
« C’est précisément pour cette raison que son Organisation, à travers ses stratégies Jeunesses Économiques et Numériques, intervient pour permettre d’accroître le rôle central des femmes et des Jeunes dans le développement de nos Etats et de nos gouvernements », a-t-elle souligné.