
« La République Centrafricaine a réaffirmé dans la Constitution du 30 mars 2016, son attachement aux instruments juridiques internationaux relatifs aux droits de l’Homme, qui mettent en exergue, le droit à la vie, à la liberté et à la sureté de la personne, l’interdiction de la torture et de la violence », a indiqué Anicet Thierry Goué-Moussangoé.
Selon lui, depuis le retour de la République Centrafricaine à la légalité constitutionnelle et avec la signature de l’accord politique pour la paix et la réconciliation, elle s’est engagée dans la poursuite des efforts pour la restauration de l’autorité de l’Etat, la lutte contre l’impunité et la protection des droits humains.
M. Goué-Moussangoé a réaffirmé que, la Centrafricaine reste attachée aux principes et valeurs de la charte des Nations Unies, au protocole de la conférence sur la région des grands lacs relatifs à la prévention et à la répression du crime de génocide et des crimes de guerre.
Il convient de rappeler que la charte des Nations Unies, prône l’impunité zéro pour des crimes contre l’Humanité et toutes formes de discrimination.
Selon lui, depuis le retour de la République Centrafricaine à la légalité constitutionnelle et avec la signature de l’accord politique pour la paix et la réconciliation, elle s’est engagée dans la poursuite des efforts pour la restauration de l’autorité de l’Etat, la lutte contre l’impunité et la protection des droits humains.
M. Goué-Moussangoé a réaffirmé que, la Centrafricaine reste attachée aux principes et valeurs de la charte des Nations Unies, au protocole de la conférence sur la région des grands lacs relatifs à la prévention et à la répression du crime de génocide et des crimes de guerre.
Il convient de rappeler que la charte des Nations Unies, prône l’impunité zéro pour des crimes contre l’Humanité et toutes formes de discrimination.