
L’objectif de cet atelier est d’échanger avec les femmes leaders, les jeunes filles , et surtout de susciter l’engagement des partis politiques à soutenir les actions politiques des femmes et des jeunes filles leaders centrafricaines.
Gisèle Pana a indiqué que le contexte de la fragilité sociale, économique et politique, principal indice de la pauvreté, continue exclusivement à renforcer la vulnérabilité des femmes dans la lutte politique en Centrafrique.
Elle a souligné que les femmes représentent 50.2% de la population centrafricaine. Elles jouent un rôle très important dans le développement socio-économique du pays. Les femmes s'illustrent beaucoup dans le secteur agricole avec une production de 60 à 80% des aliments de base, a-t-elle réitéré.
Le membre du gouvernement a ajouté que malgré la contribution significative des femmes, et en dépit d‘un cadre juridique favorable, la participation de celles-ci dans les instances de prise de décision reste encore insignifiante.
La Présidente de lobbing des femmes leaders, Marie Madeleine Moussa Yadouma, a affirmé que les femmes représentent plus de 50% de la population centrafricaine, mais restent sous représentées dans les instances de prise de décision politique dans le pays.
Elle a souligné que les résultats de cet atelier permettrons aux femmes et aux jeunes leaders de s’approprier des dispositions du nouveau Code électoral, pour que à l'avenir, elles puissent s'engager effectivement dans les activités politiques.
Il convient de rappeler que cet atelier de 48 heures, a mobilisé pus de 100 personnes issues de différentes couches sociales, notamment des associations féminines et des femmes qui font partie des partis et mouvements politiques.
Gisèle Pana a indiqué que le contexte de la fragilité sociale, économique et politique, principal indice de la pauvreté, continue exclusivement à renforcer la vulnérabilité des femmes dans la lutte politique en Centrafrique.
Elle a souligné que les femmes représentent 50.2% de la population centrafricaine. Elles jouent un rôle très important dans le développement socio-économique du pays. Les femmes s'illustrent beaucoup dans le secteur agricole avec une production de 60 à 80% des aliments de base, a-t-elle réitéré.
Le membre du gouvernement a ajouté que malgré la contribution significative des femmes, et en dépit d‘un cadre juridique favorable, la participation de celles-ci dans les instances de prise de décision reste encore insignifiante.
La Présidente de lobbing des femmes leaders, Marie Madeleine Moussa Yadouma, a affirmé que les femmes représentent plus de 50% de la population centrafricaine, mais restent sous représentées dans les instances de prise de décision politique dans le pays.
Elle a souligné que les résultats de cet atelier permettrons aux femmes et aux jeunes leaders de s’approprier des dispositions du nouveau Code électoral, pour que à l'avenir, elles puissent s'engager effectivement dans les activités politiques.
Il convient de rappeler que cet atelier de 48 heures, a mobilisé pus de 100 personnes issues de différentes couches sociales, notamment des associations féminines et des femmes qui font partie des partis et mouvements politiques.