Ouverts par le Chargé de mission en matière de l’’Environnement et du développement durable, Ruben Nambaï, les travaux visent une analyse du rôle de l’exploitation forestière industrielle en tant que facteur de déboisement et de dégradation des forêts en République Centrafricaine.
Ruben Nambaï a rappelé que cette étude consistait à ‘identifier les éléments et indicateurs particuliers de la déforestation et de la dégradation des forêts, évaluer leurs incidences tant qualitative et que quantitative sur le couvert forestier et faire un état des lieux de l’exploitation forestière industrielle.
Le Coordonnateur et expert national en matière de changement climatique, Tola Kogadou, a précisé que la République Centrafricaine s’est engagée dans un processus de réduction des émissions liées à la dégradations et à la déforestation(REDD+) et, pour bénéficier des appuis financiers afin de procéder à une gestion durable des forêts, elle doit produire un document de stratégie nationale.
C’est dans ce cadre, a-t-il ajouté, que le pays a rédigé un document de l’avant projet qui a été accepté par les partenaires. Mais la question de l’exploitation forestière industrielle comme facteur, cause et agent de dégradation forestière demeure en suspens.
C’est pourquoi les partenaires ont exigé que la République Centrafricaine réalise une étude détaillée sur les facteurs, causes et agents de dégradation et de déforestation, notamment l’exploitation forestière industrielle comme agent principal, a expliqué Tola Kogadou.
Cet atelier de deux jours regroupe 45 participants représentant la coordination nationale, les parties prenantes du processus REDD+ au pays (ONG), l’administration publique, les partenaires au développement, la coopération bilatérale et multilatérale et le secteur privé.
Ruben Nambaï a rappelé que cette étude consistait à ‘identifier les éléments et indicateurs particuliers de la déforestation et de la dégradation des forêts, évaluer leurs incidences tant qualitative et que quantitative sur le couvert forestier et faire un état des lieux de l’exploitation forestière industrielle.
Le Coordonnateur et expert national en matière de changement climatique, Tola Kogadou, a précisé que la République Centrafricaine s’est engagée dans un processus de réduction des émissions liées à la dégradations et à la déforestation(REDD+) et, pour bénéficier des appuis financiers afin de procéder à une gestion durable des forêts, elle doit produire un document de stratégie nationale.
C’est dans ce cadre, a-t-il ajouté, que le pays a rédigé un document de l’avant projet qui a été accepté par les partenaires. Mais la question de l’exploitation forestière industrielle comme facteur, cause et agent de dégradation forestière demeure en suspens.
C’est pourquoi les partenaires ont exigé que la République Centrafricaine réalise une étude détaillée sur les facteurs, causes et agents de dégradation et de déforestation, notamment l’exploitation forestière industrielle comme agent principal, a expliqué Tola Kogadou.
Cet atelier de deux jours regroupe 45 participants représentant la coordination nationale, les parties prenantes du processus REDD+ au pays (ONG), l’administration publique, les partenaires au développement, la coopération bilatérale et multilatérale et le secteur privé.