Le coordonnateur national du processus de Réduction des Emissions liées à la Déforestation et à la Dégradation des Forêts, Igor Tola Kogadou a indiqué que l’objectif de cet atelier est non seulement de relier les documents des consultants, mais également d’apporter des amendements de forme et de fonds aux documents afin de les finaliser et envoyer à la Banque Mondiale pour financement.
« Il s’agit pour les participants de voir, si les points de vue des Centrafricains sont respectés et les intérêts de la République Centrafricaine sont pris en compte dans ces documents », a-t-il précisé.
Il a souligné que ce document est un mécanisme ouvert, et c’est à travers ce document que les partenaires au développement vont décaisser les fonds nécessaires pour pouvoir continuer le travail de conservation et de gestion durable des forêts en République Centrafricaine.
En effet, chaque consultant va présenter ses rapports et les participants vont se pencher sur ces documents, car, c’est un produit de réflexion individuelle des experts.
Il convient de rappeler que le processus REDD+ a été lancé en septembre 2010, et le but était d’avoir un document national afin de le soumettre à la Banque Mondiale.
« Il s’agit pour les participants de voir, si les points de vue des Centrafricains sont respectés et les intérêts de la République Centrafricaine sont pris en compte dans ces documents », a-t-il précisé.
Il a souligné que ce document est un mécanisme ouvert, et c’est à travers ce document que les partenaires au développement vont décaisser les fonds nécessaires pour pouvoir continuer le travail de conservation et de gestion durable des forêts en République Centrafricaine.
En effet, chaque consultant va présenter ses rapports et les participants vont se pencher sur ces documents, car, c’est un produit de réflexion individuelle des experts.
Il convient de rappeler que le processus REDD+ a été lancé en septembre 2010, et le but était d’avoir un document national afin de le soumettre à la Banque Mondiale.