L’ objectif de ces assises est de renforcer les capacités des Filles et Femmes membres des Associations des Personnes vivant avec le VIH/SIDA sur le leadership afin de combattre efficacement cette pandémie dont les ravages compromettent dangereusement les efforts consentis par le gouvernement pour atténuer l’impact du phénomène de la pauvreté en République Centrafricaine.
Car, a rappelé Mme Hyacinthe Wodobodé « depuis sa découverte en 1984 l’infection de VIH reste et demeure une préoccupation majeure en République Centrafricaine de part son impact sur les performances de développement économique, social et culturel. L’épidémie s’est généralisée, avec un taux de prévalence de 6,2%, source enquête MICS 2006 ».
Selon elle, « les avancées vers l’application du principe de three ones à savoir : un seul cadre stratégique, un seul plan national de suivi évaluation, un seul organe de coordination et, l’amélioration de la gouvernance à la réponse nationale pour l’accélération vers l’accès universel restent encore insuffisantes ».
Elle a ajouté que le défi aujourd’hui, c’est d’amener tous les partenaires, surtout les organisations de la société civile à mieux connaitre le rôle des uns et des autres afin de faire comprendre la nécessité de la complémentarité de leurs interventions.
Durant trois jours, les participantes seront édifiées sur les sources de l’action, l’engagement et l’action en se basant sur des cas pratiques.
Il convient de noter que cet atelier qui regroupe une quarantaine de participantes venues de Bangui et ses environs prendra fin le 27 août 2010.
Car, a rappelé Mme Hyacinthe Wodobodé « depuis sa découverte en 1984 l’infection de VIH reste et demeure une préoccupation majeure en République Centrafricaine de part son impact sur les performances de développement économique, social et culturel. L’épidémie s’est généralisée, avec un taux de prévalence de 6,2%, source enquête MICS 2006 ».
Selon elle, « les avancées vers l’application du principe de three ones à savoir : un seul cadre stratégique, un seul plan national de suivi évaluation, un seul organe de coordination et, l’amélioration de la gouvernance à la réponse nationale pour l’accélération vers l’accès universel restent encore insuffisantes ».
Elle a ajouté que le défi aujourd’hui, c’est d’amener tous les partenaires, surtout les organisations de la société civile à mieux connaitre le rôle des uns et des autres afin de faire comprendre la nécessité de la complémentarité de leurs interventions.
Durant trois jours, les participantes seront édifiées sur les sources de l’action, l’engagement et l’action en se basant sur des cas pratiques.
Il convient de noter que cet atelier qui regroupe une quarantaine de participantes venues de Bangui et ses environs prendra fin le 27 août 2010.