Firmin Ngbong-Mokoé, à l'ouverture de l'atelier
Les objectifs de cet atelier sont, d’une part, la concertation et la confirmation des engagements des Etats de la région, d’adopter une approche commune en vue de l’éradication et de la mise en œuvre des conventions de l’ONU sur l’apatridie et, d’autre part, de faciliter l’harmonisation et la législation des normes nationales relatives à l’éradication de l’apatridie.
Le Chargé de Mission Firmin Ngbong-Mokoé a expliqué que l’apatridie est un acte de privation de tous les droits fondamentaux de l’homme et que le respect des obligations afférentes aux droits humains constitue un moyen efficace de prévention des conflits et une stratégie pour atténuer le déplacement de la population au niveau national et régional.
Il a souligné que la situation géographique, le statut de certains groupes sociaux et les conditions d’établissement des actes d’Etat civil dans certaine zone de la République Centrafricaine, font d’actualité cette thématique et qu’il est donc important que le HCR appuie la RCA dans la lutte contre l’apatridie.
Le représentant du Haut Commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés, Buti Kale, a, quant à lui, indiqué que de nombreuses actions ont été menées dans plusieurs régions d’Afrique et dans la région des Grands Lacs pour atteindre ces objectifs et que les Etats membres du HCR doivent s’engager dans le cadre de la déclaration de CIRGL pour éradiquer l’apatridie.
Il a illustré ses propos par le cas d’un jeune Sud africain qui a été longtemps apatride dans son propre pays et qui a eu droit à la citoyenneté grâce au bon sens de l’ancien président Nelson Mandela-Madiba.
Il convient de rappeler que la République Centrafricaine n’a pas de chiffre sur les cas d’apatridie mais compte tenu de la crise que le pays a connue, il se pourrait qu’il y ait des gens qui se trouvent dans cette situation.
Le Chargé de Mission Firmin Ngbong-Mokoé a expliqué que l’apatridie est un acte de privation de tous les droits fondamentaux de l’homme et que le respect des obligations afférentes aux droits humains constitue un moyen efficace de prévention des conflits et une stratégie pour atténuer le déplacement de la population au niveau national et régional.
Il a souligné que la situation géographique, le statut de certains groupes sociaux et les conditions d’établissement des actes d’Etat civil dans certaine zone de la République Centrafricaine, font d’actualité cette thématique et qu’il est donc important que le HCR appuie la RCA dans la lutte contre l’apatridie.
Le représentant du Haut Commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés, Buti Kale, a, quant à lui, indiqué que de nombreuses actions ont été menées dans plusieurs régions d’Afrique et dans la région des Grands Lacs pour atteindre ces objectifs et que les Etats membres du HCR doivent s’engager dans le cadre de la déclaration de CIRGL pour éradiquer l’apatridie.
Il a illustré ses propos par le cas d’un jeune Sud africain qui a été longtemps apatride dans son propre pays et qui a eu droit à la citoyenneté grâce au bon sens de l’ancien président Nelson Mandela-Madiba.
Il convient de rappeler que la République Centrafricaine n’a pas de chiffre sur les cas d’apatridie mais compte tenu de la crise que le pays a connue, il se pourrait qu’il y ait des gens qui se trouvent dans cette situation.