Claudy Siar à Gauche
Le but de cette manifestation culturelle est de faire la promotion des artistes centrafricains qui veulent se lancer et faire carrière dans la musique.
Le président du conseil d’administration de l’Alliance française de Bangui, Alexandre Goumba, a invité les Centrafricains à placer l’amour au centre de leurs préoccupations et à rejeter l’esprit de la division, de la haine et de la vengeance.
« Il y a la population banguissoise, avec le chant et ce qui est communiqué au travers les artistes, nous faisons la promotion de la culture de la paix, de la cohésion sociale et aussi de la culture centrafricaine», a souligné Rosalie Koudounguéré Mologbama, membre dudit conseil d’administration.
Selon elle, quand on pleure, on danse dans la guerre, on danse aujourd’hui, cet évènement a permis aux Centrafricains et à la jeunesse de chanter, de s’amuser et d’espérer pour un avenir meilleur pour notre pays.
S’agissant des pourparlers qui se déroulent à Khartoum, au Soudan, elle a émis le vœu que ces discussions débouchent sur un consensus entre les deux partis.
« Nous attendons de cette concertation de Khartoum, des voies et moyens pour sortir de la crise car dans la salle, la population criait sa volonté de voir que ces concertations débouchent sur la consolidation d’une paix véritable en Centrafrique", a-t-elle martelé.
« Nous voulons aussi à travers cet évènement encourager tous nos frères, nos sœurs qui sont à la base de se comprendre, de se parler et de trouver un consensus parce que tout à l’heure, un artiste a crié, « la Centrafrique est une et indivisible », a estimé Rosalie Koudounguéré.
Le président du conseil d’administration de l’Alliance française de Bangui, Alexandre Goumba, a invité les Centrafricains à placer l’amour au centre de leurs préoccupations et à rejeter l’esprit de la division, de la haine et de la vengeance.
« Il y a la population banguissoise, avec le chant et ce qui est communiqué au travers les artistes, nous faisons la promotion de la culture de la paix, de la cohésion sociale et aussi de la culture centrafricaine», a souligné Rosalie Koudounguéré Mologbama, membre dudit conseil d’administration.
Selon elle, quand on pleure, on danse dans la guerre, on danse aujourd’hui, cet évènement a permis aux Centrafricains et à la jeunesse de chanter, de s’amuser et d’espérer pour un avenir meilleur pour notre pays.
S’agissant des pourparlers qui se déroulent à Khartoum, au Soudan, elle a émis le vœu que ces discussions débouchent sur un consensus entre les deux partis.
« Nous attendons de cette concertation de Khartoum, des voies et moyens pour sortir de la crise car dans la salle, la population criait sa volonté de voir que ces concertations débouchent sur la consolidation d’une paix véritable en Centrafrique", a-t-elle martelé.
« Nous voulons aussi à travers cet évènement encourager tous nos frères, nos sœurs qui sont à la base de se comprendre, de se parler et de trouver un consensus parce que tout à l’heure, un artiste a crié, « la Centrafrique est une et indivisible », a estimé Rosalie Koudounguéré.