Pour M.Lanzer, le Fond Commun Humanitaire a été accordé à chacun des 80 projets du Programme d’Aide Coordonné qui couvrent un des six secteurs prioritaires, notamment l’éducation, la sécurité alimentaire, la santé, la protection, l'eau et l'assainissement.
Le chef de délégation du Comité International de la croix Rouge (CICR), M. Jean Nicolas Marti, a également annoncé que le CICR s’engage à doter l’Hôpital Communautaire de Bangui d'un groupe électrogène afin de pallier les coupure d’électricité.
M. Marti a déploré le manque d'infrastructures dans les maisons pénitentiaires et les hôpitaux de Bangui.
La présence des humanitaires dans les zones de conflit est essentielle car elle a contribué à la réduction du nombre de violations des droits de l’Homme, ont indiqué ces acteurs de l'humanitaires, qui ont indiqué que leurs organisations ont multiplié par trois le nombre de programmes fournissant une assistance aux survivants des viols et d’autres violences.
Environ un tiers des 305.000 Centrafricains réfugiés et déplacés ont été obligés de quitter leurs villages à cause du banditisme plutôt qu’à cause du conflit politique, ont-ils précisé, ajoutant que ce chiffre englobe les 11.000 personnes déplacées à Bozoum, les 9.000 dans la Nana Mambéré, les 5.600 à Kabo, les petits groupes éparpillés à travers le nord de la RCA ainsi que les 45 000 réfugiés au Cameroun et des dizaines de milliers d'autres réfugiés au Tchad (y compris 10.000 personnes qui ont fui aux mois de février et mars 2008).
Il convient de rappeler qu' au mois de mai de cette année, un cinquième camp de réfugiés centrafricains a été aménagé au sud du Tchad.
Le chef de délégation du Comité International de la croix Rouge (CICR), M. Jean Nicolas Marti, a également annoncé que le CICR s’engage à doter l’Hôpital Communautaire de Bangui d'un groupe électrogène afin de pallier les coupure d’électricité.
M. Marti a déploré le manque d'infrastructures dans les maisons pénitentiaires et les hôpitaux de Bangui.
La présence des humanitaires dans les zones de conflit est essentielle car elle a contribué à la réduction du nombre de violations des droits de l’Homme, ont indiqué ces acteurs de l'humanitaires, qui ont indiqué que leurs organisations ont multiplié par trois le nombre de programmes fournissant une assistance aux survivants des viols et d’autres violences.
Environ un tiers des 305.000 Centrafricains réfugiés et déplacés ont été obligés de quitter leurs villages à cause du banditisme plutôt qu’à cause du conflit politique, ont-ils précisé, ajoutant que ce chiffre englobe les 11.000 personnes déplacées à Bozoum, les 9.000 dans la Nana Mambéré, les 5.600 à Kabo, les petits groupes éparpillés à travers le nord de la RCA ainsi que les 45 000 réfugiés au Cameroun et des dizaines de milliers d'autres réfugiés au Tchad (y compris 10.000 personnes qui ont fui aux mois de février et mars 2008).
Il convient de rappeler qu' au mois de mai de cette année, un cinquième camp de réfugiés centrafricains a été aménagé au sud du Tchad.