De nombreux anciens joueurs des différents clubs de Bangui et de l’équipe nationale ainsi que plusieurs supporters de tous les arrondissements de Bangui sont venus rendre un dernier hommage à ce fils du pays qui a permis au football centrafricain de connaître ses moments de gloire, à une période de son histoire.
Né en 1952 à Bangui, le regretté Samuel Féissona débute très jeune sa carrière sportive dans les petits clubs de quartier. En 1973, il commence à jouer dans le club Stade centrafricain (Scaf) où il réalise d’énormes exploits tant à Bangui qu’à l’étranger.
Son succès avec le Stade centrafricain lui vaut immédiatement une place dans l’équipe nationale. Il connaît plusieurs sélections en remportant plusieurs titres sous le maillot des Fauves du Bas-Oubangui. En 1983, il part pour le Cameroun où il joue dans Avia-sport avant de retourner à Bangui.
Après les différents événements douloureux que le pays a connus, il crée l’Association sportive des vétérans du quatrième arrondissement, communément appelée As Kangba. Cette innovation gagne rapidement tous les autres arrondissements de Bangui. En 2000 et 2001, il reçoit le titre de meilleur vétéran de Bangui.
Tous les témoignages donnés à l’occasion de ses obsèques convergent pour dire que feu Féissona était « un poumon d’acier et un cœur de cheval » pour tous les clubs dans lesquels il a joué et un « défenseur du Fair play ».
Ressortissant du lycée technique de Bangui, feu Féissona était détenteur d’un Certificat d’aptitude professionnelle (Cap) de Comptabilité, qui lui a permis de travailler dans plusieurs banques et sociétés privées comme comptable.
Il est décédé mercredi 9 janvier à Bangui des suites d’un accident de circulation. Il laisse derrière lui une veuve et onze orphelins dont six garçons et cinq filles ainsi que vingt sept petits enfants.
Né en 1952 à Bangui, le regretté Samuel Féissona débute très jeune sa carrière sportive dans les petits clubs de quartier. En 1973, il commence à jouer dans le club Stade centrafricain (Scaf) où il réalise d’énormes exploits tant à Bangui qu’à l’étranger.
Son succès avec le Stade centrafricain lui vaut immédiatement une place dans l’équipe nationale. Il connaît plusieurs sélections en remportant plusieurs titres sous le maillot des Fauves du Bas-Oubangui. En 1983, il part pour le Cameroun où il joue dans Avia-sport avant de retourner à Bangui.
Après les différents événements douloureux que le pays a connus, il crée l’Association sportive des vétérans du quatrième arrondissement, communément appelée As Kangba. Cette innovation gagne rapidement tous les autres arrondissements de Bangui. En 2000 et 2001, il reçoit le titre de meilleur vétéran de Bangui.
Tous les témoignages donnés à l’occasion de ses obsèques convergent pour dire que feu Féissona était « un poumon d’acier et un cœur de cheval » pour tous les clubs dans lesquels il a joué et un « défenseur du Fair play ».
Ressortissant du lycée technique de Bangui, feu Féissona était détenteur d’un Certificat d’aptitude professionnelle (Cap) de Comptabilité, qui lui a permis de travailler dans plusieurs banques et sociétés privées comme comptable.
Il est décédé mercredi 9 janvier à Bangui des suites d’un accident de circulation. Il laisse derrière lui une veuve et onze orphelins dont six garçons et cinq filles ainsi que vingt sept petits enfants.