C’est pourquoi les journalistes multiplient des efforts afin d’appuyer les initiatives des partenaires pour la reconstruction de la RCA. Le gouvernement tout comme les partenaires au développement comptent plus sur le travail des journalistes qui œuvrent dans la presse écrite, l’audiovisuels et les médias en ligne pour parvenir à ce but ; qui est une aspiration nationale, souhaitée par l’ensemble des partenaires techniques et financiers de la RCA, parmi lesquels la MINUSCA qui constitue une pierre « angulaire » pour cette lutte.
En effet, dans quelques années nous connaîtrons un "Journalisme de Développement", mis au service d’une "République Centrafricaine réconciliée" en comptant aussi sur la participation généreuse et universelle des centrafricains au rang desquels, les femmes et les jeunes qui constituent notre souffle dans cette lutte pour la mise en route effective de cet échange global, qui se déroule dans le respect de la dignité humaine sans exclure un membre.
La coopération multiforme entre les institutions de la Républiques et les partenaires ne pourra qu’en profiter mutuellement. Beaucoup de possibilités existent encore, à cet effet, iI faut exploiter, surtout dans le journalisme et de la communication stratégique en concluant des accords et en convoquant régulièrement l’opinion nationale dans des débats fructueux de la grande nécessité impérieuse de cohabitation harmonieuse entre les communautés qui regardent dans la destination unique.
C’est pourquoi, les professionnels des médias dans l’exercice de leur noble mission doivent apporter des solutions d’atténuation des cœurs teintés des douleurs, pour qu’iIs retrouvent la « concorde éternelle ».
Les professionnels des médias s’en réjouiront pleinement que le journalisme est désormais au service d’un Centrafrique réconcilié.
En effet, dans quelques années nous connaîtrons un "Journalisme de Développement", mis au service d’une "République Centrafricaine réconciliée" en comptant aussi sur la participation généreuse et universelle des centrafricains au rang desquels, les femmes et les jeunes qui constituent notre souffle dans cette lutte pour la mise en route effective de cet échange global, qui se déroule dans le respect de la dignité humaine sans exclure un membre.
La coopération multiforme entre les institutions de la Républiques et les partenaires ne pourra qu’en profiter mutuellement. Beaucoup de possibilités existent encore, à cet effet, iI faut exploiter, surtout dans le journalisme et de la communication stratégique en concluant des accords et en convoquant régulièrement l’opinion nationale dans des débats fructueux de la grande nécessité impérieuse de cohabitation harmonieuse entre les communautés qui regardent dans la destination unique.
C’est pourquoi, les professionnels des médias dans l’exercice de leur noble mission doivent apporter des solutions d’atténuation des cœurs teintés des douleurs, pour qu’iIs retrouvent la « concorde éternelle ».
Les professionnels des médias s’en réjouiront pleinement que le journalisme est désormais au service d’un Centrafrique réconcilié.