Le chef de l'Etat François Bozize Yangouvonda (ph. archives)
« Je leur tends la main pour qu’ensemble nous nous attachions à la recons¬truction de notre beau pays considéré comme béni de Dieu », a notamment déclaré le général Bozizé, pour qui le Dialogue Politique inclusif en cours de préparation « nous offre une chance unique et exceptionnelle pour vider nos rancoeurs, nous expliquer une fois pour toutes, les yeux dans les yeux, et multiplier nos chances de succès en tirant dans la même direction avec toute la Nation rassemblée ».
Selon lui, le résultat essentiel attendu de ce dialogue par la communauté nationale est de voir les zones du nord-ouest et du nord-est qui ont été déconnectées de la vie nationale et de la production reprendre vie afin d’assurer de manière durable la croissance du secteur agricole.
Au cours de son adresse qui a duré plus de 3 quarts d’heure, François Bozizé s’est également employé à faire un bilan à mi-parcours de son mandat présidentiel de 5 ans, prévu pour prendre fin en 2010.
Il a indiqué pouvoir « affirmer avec force que la paix, longtemps menacée et troublée, est revenue dans le pays [et que] la circulation des personnes et des biens est redevenue libre et sûre, même s’il est vrai que quelques poches de résistance demeurent ça et là dans le Nord Ouest et le Nord Est du pays.
Après un passage en revue des réalisations de chaque département ministériel, François Bozizé a concédé que « ces efforts n’ont certes pas les répercussions que nous aurions souhaité sur la vie sociale de nos populations, mais, reconnaissons-le, nous revenons de loin et le chemin est encore long ».
C’est la raison pour laquelle il s’est engagé, pour 2008, à consolider les acquis, grâce au maintien des efforts dans le domaine de l’assainissement des finances publiques et de la sécurisation des recettes.
Il a également affiché son intention de mener « une réflexion intense avec l’aide des opérateurs économiques pour trouver des méca¬nismes permettant que les jeunes sans emploi trouvent un premier emploi rémunéré ou auto rémunéré ».
Il a enfin relevé qu’en dernier ressort, « seul le travail, et rien que le travail, peut permettre un changement radical et durable ».
Selon lui, le résultat essentiel attendu de ce dialogue par la communauté nationale est de voir les zones du nord-ouest et du nord-est qui ont été déconnectées de la vie nationale et de la production reprendre vie afin d’assurer de manière durable la croissance du secteur agricole.
Au cours de son adresse qui a duré plus de 3 quarts d’heure, François Bozizé s’est également employé à faire un bilan à mi-parcours de son mandat présidentiel de 5 ans, prévu pour prendre fin en 2010.
Il a indiqué pouvoir « affirmer avec force que la paix, longtemps menacée et troublée, est revenue dans le pays [et que] la circulation des personnes et des biens est redevenue libre et sûre, même s’il est vrai que quelques poches de résistance demeurent ça et là dans le Nord Ouest et le Nord Est du pays.
Après un passage en revue des réalisations de chaque département ministériel, François Bozizé a concédé que « ces efforts n’ont certes pas les répercussions que nous aurions souhaité sur la vie sociale de nos populations, mais, reconnaissons-le, nous revenons de loin et le chemin est encore long ».
C’est la raison pour laquelle il s’est engagé, pour 2008, à consolider les acquis, grâce au maintien des efforts dans le domaine de l’assainissement des finances publiques et de la sécurisation des recettes.
Il a également affiché son intention de mener « une réflexion intense avec l’aide des opérateurs économiques pour trouver des méca¬nismes permettant que les jeunes sans emploi trouvent un premier emploi rémunéré ou auto rémunéré ».
Il a enfin relevé qu’en dernier ressort, « seul le travail, et rien que le travail, peut permettre un changement radical et durable ».