Renfermant des questions à choix multiples comprenant la meilleure réponse, les 3 manuels remis vendredi comportent toutes les catégories grammaticales orthographiques syntaxiques, sémantiques et stylistiques recensées et réparties selon le niveau des difficultés.
Les exercices les plus faciles sont destinés au niveau collège, les plus difficiles étant réservés aux lycées et au supérieur ainsi qu’aux professeurs de français et à tous ceux qui veulent améliorer personnellement leurs compétences linguistiques.
« L’arrivée de ces manuels vient résoudre partiellement un problème pédagogiques didactique, celui d’améliorer le ratio livre /élève au niveau des lycées et collèges sans oublier le supérieur », a déclaré M. Doubane, qui a exhorté les enseignants d’en faire bon usage avec leurs apprenants, ajoutant que le livre reste et demeure l’outil indispensable d’apprentissage.
« Nos étudiants, lycéens et ceux du collège éprouvent de sérieuses difficultés de maîtrise de la langue de communication. C’est un constat général et c’est l’une des raisons qui m’a poussé à poursuivre l’analyse des réponses des étudiants jusqu’à la finalisation », a déclaré M. Ngoulo, qui a expliqué avoir mis à profit un son séjour d’études doctorales à l’Université de Montréal pour entamer l’analyse des données recueillies auprès des élèves et étudiants centrafricains et avoir finalisé les manuels en 2004 grâce à une bourse de l’Agence universitaire de la francophonie.
Les exercices les plus faciles sont destinés au niveau collège, les plus difficiles étant réservés aux lycées et au supérieur ainsi qu’aux professeurs de français et à tous ceux qui veulent améliorer personnellement leurs compétences linguistiques.
« L’arrivée de ces manuels vient résoudre partiellement un problème pédagogiques didactique, celui d’améliorer le ratio livre /élève au niveau des lycées et collèges sans oublier le supérieur », a déclaré M. Doubane, qui a exhorté les enseignants d’en faire bon usage avec leurs apprenants, ajoutant que le livre reste et demeure l’outil indispensable d’apprentissage.
« Nos étudiants, lycéens et ceux du collège éprouvent de sérieuses difficultés de maîtrise de la langue de communication. C’est un constat général et c’est l’une des raisons qui m’a poussé à poursuivre l’analyse des réponses des étudiants jusqu’à la finalisation », a déclaré M. Ngoulo, qui a expliqué avoir mis à profit un son séjour d’études doctorales à l’Université de Montréal pour entamer l’analyse des données recueillies auprès des élèves et étudiants centrafricains et avoir finalisé les manuels en 2004 grâce à une bourse de l’Agence universitaire de la francophonie.