Le président gabonais Omar Bongo Ondimba, est mort "des suites d'un arrêt cardiaque", lundi 8 juin 2009 à 14 heures 30 mn à la clinique Quiron à Barcelone à l'âge de 73 ans, a appris l'Acap d'une source officielle.
"C'est à 14H30 (12H30 GMT) que l'équipe médicale m'a informé, ainsi que les officiels et membres de la famille présents, que le président de la République, chef de l'Etat, Omar Bongo Ondimba, venait de rendre l'âme des suites d'un arrêt cardiaque", indique le message du Premier ministre gabonais Jean Eyeghe Ndong, lu sur la Première chaîne de la Radio Télévision Gabonaise (RTG1) par le Vice Premier ministre chargé de l’Environnement, Georgette Koko.
Sa mort avait été annoncée depuis le week-end par la presse française. Le Premier ministre gabonais a souligné, lundi depuis la clinique Quiron à Barcelone, que le Gabon allait protester officiellement auprès de la France pour dénoncer les "dérives répétées de la presse française" sur l'état de santé du président Bongo.
Aussitôt, le gouvernement gabonais, à travers le ministère des Affaires étrangères, a remis à Libreville, une « lettre de protestation » à l’Ambassadeur de France au Gabon, Jean Didier Roisin.
"C'est à 14H30 (12H30 GMT) que l'équipe médicale m'a informé, ainsi que les officiels et membres de la famille présents, que le président de la République, chef de l'Etat, Omar Bongo Ondimba, venait de rendre l'âme des suites d'un arrêt cardiaque", indique le message du Premier ministre gabonais Jean Eyeghe Ndong, lu sur la Première chaîne de la Radio Télévision Gabonaise (RTG1) par le Vice Premier ministre chargé de l’Environnement, Georgette Koko.
Sa mort avait été annoncée depuis le week-end par la presse française. Le Premier ministre gabonais a souligné, lundi depuis la clinique Quiron à Barcelone, que le Gabon allait protester officiellement auprès de la France pour dénoncer les "dérives répétées de la presse française" sur l'état de santé du président Bongo.
Aussitôt, le gouvernement gabonais, à travers le ministère des Affaires étrangères, a remis à Libreville, une « lettre de protestation » à l’Ambassadeur de France au Gabon, Jean Didier Roisin.