
La Ministre de la Santé, Fernande Djengbot, vaccinant un enfant
L’objectif de cette initiative est de réduire le taux de mortalité maternelle et infantile à travers une mobilisation de toutes les catégories sociales de la République Centrafricaine.
Mme Brigitte Touadéra a invité les partenaires techniques et financiers à soutenir le ministère de la Santé afin de développer et mettre en œuvre les stratégies lui permettant d’infléchir les courbes de morbidité et mortalité maternelle et infantile dans le pays.
Elle a appelé tous les acteurs de la santé, en général, et de la santé du couple mère/enfant, en particulier, à ne aménager aucun effort pour aider les Centrafricaines à recevoir des soins de qualité leur permettant de survivre, de s’épanouir et de transformer leur vie.
« Nous devons nous engager individuellement et collectivement pour qu’en 2020, les courbes de la mortalité maternelle, néo-natale et infantile en République Centrafricaine soient inversées, et qu’à l'horizon 2030, la Centrafrique soit au Rendez-vous des objectifs de Développement Durable (ODD) », a, pour sa part, déclaré la Directrice régionale de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le Docteur Rebecca MoetiMatshidiso.
« L’initiative lancée par la Première Dame doit être une mobilisation sans précédent dans toute la Centrafrique », a-t-elle poursuivi.
Elle a exhorté les Centrafricains à intensifier cette initiative en vue de l’adoption de nouveaux comportements et de pratiques visant la protection de la jeune fille et de la femme afin d’optimiser leur contribution au développement de la République Centrafricaine.
Il faut rappeler que Mme Brigitte Touadéra a créé, le 12 mai 2016, la fondation « Cri de Cœur d’une Mère » dont la mission première est de contribuer à l’amélioration de la santé du couple mère/enfant en République Centrafricaine et aussi de lutter contre la stigmatisation des femmes stériles.
Mme Brigitte Touadéra a invité les partenaires techniques et financiers à soutenir le ministère de la Santé afin de développer et mettre en œuvre les stratégies lui permettant d’infléchir les courbes de morbidité et mortalité maternelle et infantile dans le pays.
Elle a appelé tous les acteurs de la santé, en général, et de la santé du couple mère/enfant, en particulier, à ne aménager aucun effort pour aider les Centrafricaines à recevoir des soins de qualité leur permettant de survivre, de s’épanouir et de transformer leur vie.
« Nous devons nous engager individuellement et collectivement pour qu’en 2020, les courbes de la mortalité maternelle, néo-natale et infantile en République Centrafricaine soient inversées, et qu’à l'horizon 2030, la Centrafrique soit au Rendez-vous des objectifs de Développement Durable (ODD) », a, pour sa part, déclaré la Directrice régionale de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le Docteur Rebecca MoetiMatshidiso.
« L’initiative lancée par la Première Dame doit être une mobilisation sans précédent dans toute la Centrafrique », a-t-elle poursuivi.
Elle a exhorté les Centrafricains à intensifier cette initiative en vue de l’adoption de nouveaux comportements et de pratiques visant la protection de la jeune fille et de la femme afin d’optimiser leur contribution au développement de la République Centrafricaine.
Il faut rappeler que Mme Brigitte Touadéra a créé, le 12 mai 2016, la fondation « Cri de Cœur d’une Mère » dont la mission première est de contribuer à l’amélioration de la santé du couple mère/enfant en République Centrafricaine et aussi de lutter contre la stigmatisation des femmes stériles.