Le général de brigade Mohamed Ould Abdel Aziz lui-même commande la garde présidentielle.
Sous sa houlette, un groupe de militaires a pris le contrôle de la Primature et du palais présidentiel et a arrêté le chef de l'Etat Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, et le Premier ministre, Yahya Ould Ahmed Waghf. Ces derniers seraient actuellement détenus dans la base de la garde présidentielle et le palais présidentiel est inaccessible aux fonctionnaires, a affirmé une source jointe au téléphone par Xinhua.
Pour l'instant, aucun communiqué n'a été publié dans la capitale mauritanienne, où des mouvements de troupes ont été signalés dans certains quartiers.
Trois généraux et un colonel, tous anciens membres du Conseil militaire pour la justice et la démocratie (CMJD), ont été limogés mercredi matin, selon une dépêche de l'Agence mauritanienne d'information (AMI), citant un décret présidentiel.
Les changements intervenus dans l'armée mauritanienne touchent notamment le général de brigade Mohamed Ould Abdel Aziz, chef d'état major particulier du président de la République, remplacé par le colonel Mohamed Ahmed Ould Ismail.
Sont égélament concernés par ces changements le général Mohamed Ould Cheikh Mohamed Ahmed, chef d'état major national, remplacé à ce poste par le colonel Abderrahmane Ould Boubacar, le général Félix Négri, chef d'état major de la garde nationale, remplacé par son adjoint, le colonel Mesgharou Ould Sidi.
Le colonel Ahmed Ould Bekrine, chef d'état major de la gendarmerie est remplacé à ce poste par son adjoint, le colonel Ahmed Ould Mohamed El Kory.
Ces officiers limogés appartiennent tous au "Conseil militaire pour la justice et la démocratie" (CMJD), créé au lendemain du coup d'Etat militaire du 3 août 2005, qui a renversé le président Ould Taya, au pouvoir pendant 21 ans.
En mars 2007, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, alors candidat indépendant, a été élu au second tour, à la tête de l'Etat. Depuis plus d'un an, la Mauritanie est confrontée à l'instabilité politique due à une situation conflictuelle entre le gouvernement, le Parlement et l'armée.
Sous sa houlette, un groupe de militaires a pris le contrôle de la Primature et du palais présidentiel et a arrêté le chef de l'Etat Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, et le Premier ministre, Yahya Ould Ahmed Waghf. Ces derniers seraient actuellement détenus dans la base de la garde présidentielle et le palais présidentiel est inaccessible aux fonctionnaires, a affirmé une source jointe au téléphone par Xinhua.
Pour l'instant, aucun communiqué n'a été publié dans la capitale mauritanienne, où des mouvements de troupes ont été signalés dans certains quartiers.
Trois généraux et un colonel, tous anciens membres du Conseil militaire pour la justice et la démocratie (CMJD), ont été limogés mercredi matin, selon une dépêche de l'Agence mauritanienne d'information (AMI), citant un décret présidentiel.
Les changements intervenus dans l'armée mauritanienne touchent notamment le général de brigade Mohamed Ould Abdel Aziz, chef d'état major particulier du président de la République, remplacé par le colonel Mohamed Ahmed Ould Ismail.
Sont égélament concernés par ces changements le général Mohamed Ould Cheikh Mohamed Ahmed, chef d'état major national, remplacé à ce poste par le colonel Abderrahmane Ould Boubacar, le général Félix Négri, chef d'état major de la garde nationale, remplacé par son adjoint, le colonel Mesgharou Ould Sidi.
Le colonel Ahmed Ould Bekrine, chef d'état major de la gendarmerie est remplacé à ce poste par son adjoint, le colonel Ahmed Ould Mohamed El Kory.
Ces officiers limogés appartiennent tous au "Conseil militaire pour la justice et la démocratie" (CMJD), créé au lendemain du coup d'Etat militaire du 3 août 2005, qui a renversé le président Ould Taya, au pouvoir pendant 21 ans.
En mars 2007, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, alors candidat indépendant, a été élu au second tour, à la tête de l'Etat. Depuis plus d'un an, la Mauritanie est confrontée à l'instabilité politique due à une situation conflictuelle entre le gouvernement, le Parlement et l'armée.