M. Ould Errachid, qui était jeudi l'invité de la Chaîne d'information Al Jazeera dans le cadre de l'émission "Daïf Al Mountassaf", a souligné que l'ancien représentant personnel du secrétaire général de l'ONU pour le Sahara, M. Peter Van Walsum est parvenu à cette même conviction, consacrée par la résolution 1813 du Conseil de sécurité, en vertu de laquelle il appelle les parties à faire montre de réalisme en vue de parvenir à une résolution définitive du conflit.
Il a, en outre, mis l'accent sur la nécessité de tenir compte des conclusions historiques auxquelles est parvenu M. Van Walsum qui a supervisé quatre rounds de négociation et souligné la nécessité pour le "polisario" d'écarter l'option de l'indépendance en vue de parvenir à une solution consensuelle appropriée, à savoir l'autonomie.
Le président du CORCAS a rappelé que le Maroc avait été à l'origine de ce processus de négociations, conformément à la résolution 1754 du Conseil de sécurité, en proposant une solution réaliste de "ni vainqueur ni vaincu".
La proposition marocaine constitue la base de la nouvelle approche du Conseil de sécurité et de la communauté internationale, fondée sur des négociations "positives" pour répondre à l'appel de la communauté internationale, à savoir un règlement consensuel et rapide qui satisfait toutes les parties.
Concernant les allégations du "polisario" qui prétend qu'"aucun Etat ne reconnaît la souveraineté du Maroc sur le Sahara", M. Ould Errachid les a catégoriquement démenties, affirmant que la majorité des pays reconnaissent cette souveraineté. "Que dire des Etats qui ont gelé leur reconnaissance de la prétendue RASD?", s'est-il interrogé.
La majorité des pays ayant des relations diplomatiques avec le Maroc expriment au Royaume leur soutien lors des Forums internationaux et reconnaissent sa souveraineté sur le Sahara, en premier lieu les pays arabes, a-t-il dit, notant que tous les pays membres de la Ligue arabe, à l'exception de l'Algérie, reconnaissent cette souveraineté.
Il en est de même pour l'Organisation de la Conférence Islamique (OCI), pour 30 pays africains et plusieurs pays asiatiques, à leur tête l'Inde qui a gelé récemment sa reconnaissance de la pseudo RASD, a rappelé le président du CORCAS, soulignant que la majorité des pays reconnaissent la souveraineté du Maroc sur le Sahara.
Concernant le rô le et les prérogatives du CORCAS, M. Ould Errachid a expliqué que le Conseil a été chargé par SM le Roi Mohammed VI en 2006, d'élaborer le projet d'autonomie qui a été finalisé au terme d'un processus de discussions et de visites à l'étranger en vue de s'inspirer des expériences d'autres pays.
Avant d'être présenté à la communauté internationale en tant qu'initiative marocaine, ce projet a été présenté au Souverain qui l'a approuvé, a-t-il rappelé.
Le CORCAS, qui a participé aux quatre rounds de négociations, joue un rô le principal en tant que représentant des populations des provinces du Sud, outre ses actions visant la défense du projet d'autonomie lors des Forums internationaux, en premier chef le Conseil de sécurité et la réconciliation entre les fils du Sahara, aussi bien ceux qui vivent dans les provinces du Sud que ceux des camps de Tindouf en leur expliquant le contenu du projet d'autonomie et en les appelant à y adhérer pour clore définitivement ce dossier.
Il a, en outre, mis l'accent sur la nécessité de tenir compte des conclusions historiques auxquelles est parvenu M. Van Walsum qui a supervisé quatre rounds de négociation et souligné la nécessité pour le "polisario" d'écarter l'option de l'indépendance en vue de parvenir à une solution consensuelle appropriée, à savoir l'autonomie.
Le président du CORCAS a rappelé que le Maroc avait été à l'origine de ce processus de négociations, conformément à la résolution 1754 du Conseil de sécurité, en proposant une solution réaliste de "ni vainqueur ni vaincu".
La proposition marocaine constitue la base de la nouvelle approche du Conseil de sécurité et de la communauté internationale, fondée sur des négociations "positives" pour répondre à l'appel de la communauté internationale, à savoir un règlement consensuel et rapide qui satisfait toutes les parties.
Concernant les allégations du "polisario" qui prétend qu'"aucun Etat ne reconnaît la souveraineté du Maroc sur le Sahara", M. Ould Errachid les a catégoriquement démenties, affirmant que la majorité des pays reconnaissent cette souveraineté. "Que dire des Etats qui ont gelé leur reconnaissance de la prétendue RASD?", s'est-il interrogé.
La majorité des pays ayant des relations diplomatiques avec le Maroc expriment au Royaume leur soutien lors des Forums internationaux et reconnaissent sa souveraineté sur le Sahara, en premier lieu les pays arabes, a-t-il dit, notant que tous les pays membres de la Ligue arabe, à l'exception de l'Algérie, reconnaissent cette souveraineté.
Il en est de même pour l'Organisation de la Conférence Islamique (OCI), pour 30 pays africains et plusieurs pays asiatiques, à leur tête l'Inde qui a gelé récemment sa reconnaissance de la pseudo RASD, a rappelé le président du CORCAS, soulignant que la majorité des pays reconnaissent la souveraineté du Maroc sur le Sahara.
Concernant le rô le et les prérogatives du CORCAS, M. Ould Errachid a expliqué que le Conseil a été chargé par SM le Roi Mohammed VI en 2006, d'élaborer le projet d'autonomie qui a été finalisé au terme d'un processus de discussions et de visites à l'étranger en vue de s'inspirer des expériences d'autres pays.
Avant d'être présenté à la communauté internationale en tant qu'initiative marocaine, ce projet a été présenté au Souverain qui l'a approuvé, a-t-il rappelé.
Le CORCAS, qui a participé aux quatre rounds de négociations, joue un rô le principal en tant que représentant des populations des provinces du Sud, outre ses actions visant la défense du projet d'autonomie lors des Forums internationaux, en premier chef le Conseil de sécurité et la réconciliation entre les fils du Sahara, aussi bien ceux qui vivent dans les provinces du Sud que ceux des camps de Tindouf en leur expliquant le contenu du projet d'autonomie et en les appelant à y adhérer pour clore définitivement ce dossier.