Cette rencontre de trois jours s'inscrit dans le cadre d'un programme de promotion des droits humains dans la région de l'Afrique du Nord, du Moyen-Orient et du Golfe, initié par l'Institut Arabe des Droits de l'Homme (IADH), avec le soutien de la Commission européenne et la collaboration de la Fédération Internationale des Droits de l'Homme (FIDH), du Conseil Consultatif des Droits de l'Homme (CCDH), de l'Association Marocaine des Droits Humains (AMDH) et de l'Organisation Marocaine des Droits de l'Homme (OMDH).
L'atelier a notamment pour objectif de définir les modalités d'intervention et d'implication des ONG dans le processus de préparation et de mise en oeuvre du plan d'action national.
Dans une allocution lue en son nom à l'ouverture des travaux, le ministre de la Justice M. Mohamed Bouzoubaâ a mis l'accent sur "la grande importance que revêt aujourd'hui l'éducation aux droits de l'Homme" dans un monde en mutation, en ce sens qu'elle représente une "option stratégique" pour la promotion de la citoyenneté véritable et des nobles valeurs.
Ce type d'éducation, lancée dans les établissements d'enseignement durant les années 90, intervient parallèlement aux programmes des associations de la société civile, a-t-il précisé, rappelant que le Maroc fut l'un des premiers pays à avoir adhéré à la décennie des Nations Unies pour l'éducation aux droits de l'Homme (1995-2004).
Ainsi, a-t-il ajouté, l'éducation aux droits de l'Homme s'est étendue à l'école, à l'université, aux établissements pénitentiaires et aux clubs féminins et d'enfance pour contribuer à la promotion des droits de l'Homme à travers les valeurs de tolérance, de liberté, de justice, de coopération, de solidarité, d'égalité et de dignité.
Quant à l'action du ministère de la justice, M. Bouzoubaâ a précisé qu'elle s'accomplit, notamment, par voie de sensibilisation (séminaires et cycles de formation), de simplification des procédures, de production de textes de lois, d'adaptation de l'arsenal juridique national aux conventions internationales et de contribution du ministère aux diverses activités des services, organisations et associations spécialisés.
De son côté, le Secrétaire général du Conseil Consultatif des Droits de l'Homme (CCDH), M. Mahjoub El Hiba a affirmé que le choix porté sur le Maroc pour abriter cet atelier est motivé par son expérience en matière de défense et de promotion des droits de l'homme, particulièrement en ce qui a trait à l'élaboration des plans sectoriels (protection de l'enfance et des personnes handicapées, lutte contre la violence à l'égard des femmes ).
Pour sa part, Mme Marie Camberlin, chargée de programmes au bureau Afrique du Nord-Moyen Orient de la FIDH, a souligné que ce choix n'est pas le fait du hasard, le Maroc étant animé, depuis des années, d'une "véritable volonté d'encourager le respect et la promotion des droits humains". "La FIDH, par l'intermédiaire de l'AMDH et de l'OMDH, soutient depuis plusieurs années le processus de démocratisation et de promotion des droits humains au Maroc, processus qui ne peut réussir sans une véritable implication de la société civile ", a-t-elle dit.
Le président du conseil d'administration de l'IADH, M. Tayeb Bakkouche a, pour sa part, mis l'accent sur l'intérêt de la coordination durant l'élaboration des plans nationaux, estimant qu'elle doit être érigée en "option stratégique de premier ordre" pour la promotion et la protection des droits de l'Homme dans la région. Il a salué l'expérience du Maroc en matière de coopération et de dialogue entre les départements ministériels et la société civile.
Le président de l'AMDH, M. Amine Abdelhamid a rappelé toute l'importance que revêt, pour l'Etat de droit, la mise au point d'un plan national pour les droits humains, estimant nécessaire l'adaptation de l'arsenal juridique national aux conventions internationales et aux déclarations universelles des droits humains".
Cinq groupes de travail seront chargés des thèmes se rapportant aux droits civils, politiques, économiques et sociaux, à la lutte contre l'impunité et la pauvreté, à l'approche genre, à la protection de l'environnement, aux recommandations de l'Instance Equité et Réconciliation, aux groupes vulnérables et à l'éducation aux droits de l'Homme.
L'atelier a notamment pour objectif de définir les modalités d'intervention et d'implication des ONG dans le processus de préparation et de mise en oeuvre du plan d'action national.
Dans une allocution lue en son nom à l'ouverture des travaux, le ministre de la Justice M. Mohamed Bouzoubaâ a mis l'accent sur "la grande importance que revêt aujourd'hui l'éducation aux droits de l'Homme" dans un monde en mutation, en ce sens qu'elle représente une "option stratégique" pour la promotion de la citoyenneté véritable et des nobles valeurs.
Ce type d'éducation, lancée dans les établissements d'enseignement durant les années 90, intervient parallèlement aux programmes des associations de la société civile, a-t-il précisé, rappelant que le Maroc fut l'un des premiers pays à avoir adhéré à la décennie des Nations Unies pour l'éducation aux droits de l'Homme (1995-2004).
Ainsi, a-t-il ajouté, l'éducation aux droits de l'Homme s'est étendue à l'école, à l'université, aux établissements pénitentiaires et aux clubs féminins et d'enfance pour contribuer à la promotion des droits de l'Homme à travers les valeurs de tolérance, de liberté, de justice, de coopération, de solidarité, d'égalité et de dignité.
Quant à l'action du ministère de la justice, M. Bouzoubaâ a précisé qu'elle s'accomplit, notamment, par voie de sensibilisation (séminaires et cycles de formation), de simplification des procédures, de production de textes de lois, d'adaptation de l'arsenal juridique national aux conventions internationales et de contribution du ministère aux diverses activités des services, organisations et associations spécialisés.
De son côté, le Secrétaire général du Conseil Consultatif des Droits de l'Homme (CCDH), M. Mahjoub El Hiba a affirmé que le choix porté sur le Maroc pour abriter cet atelier est motivé par son expérience en matière de défense et de promotion des droits de l'homme, particulièrement en ce qui a trait à l'élaboration des plans sectoriels (protection de l'enfance et des personnes handicapées, lutte contre la violence à l'égard des femmes ).
Pour sa part, Mme Marie Camberlin, chargée de programmes au bureau Afrique du Nord-Moyen Orient de la FIDH, a souligné que ce choix n'est pas le fait du hasard, le Maroc étant animé, depuis des années, d'une "véritable volonté d'encourager le respect et la promotion des droits humains". "La FIDH, par l'intermédiaire de l'AMDH et de l'OMDH, soutient depuis plusieurs années le processus de démocratisation et de promotion des droits humains au Maroc, processus qui ne peut réussir sans une véritable implication de la société civile ", a-t-elle dit.
Le président du conseil d'administration de l'IADH, M. Tayeb Bakkouche a, pour sa part, mis l'accent sur l'intérêt de la coordination durant l'élaboration des plans nationaux, estimant qu'elle doit être érigée en "option stratégique de premier ordre" pour la promotion et la protection des droits de l'Homme dans la région. Il a salué l'expérience du Maroc en matière de coopération et de dialogue entre les départements ministériels et la société civile.
Le président de l'AMDH, M. Amine Abdelhamid a rappelé toute l'importance que revêt, pour l'Etat de droit, la mise au point d'un plan national pour les droits humains, estimant nécessaire l'adaptation de l'arsenal juridique national aux conventions internationales et aux déclarations universelles des droits humains".
Cinq groupes de travail seront chargés des thèmes se rapportant aux droits civils, politiques, économiques et sociaux, à la lutte contre l'impunité et la pauvreté, à l'approche genre, à la protection de l'environnement, aux recommandations de l'Instance Equité et Réconciliation, aux groupes vulnérables et à l'éducation aux droits de l'Homme.