Après avoir composé pour la première fois en 1981 au lycée moderne de Bangassou où il a connu un échec, Paul Lindo n’a jamais baissé les bras.
De candidat régulier au candidat libre, il est omniprésent tous les ans pour tenter sa chance, arrivant plusieurs fois au second tour. Selon les témoignages, Paul Lindo avait juré de ne pas céder, même si son premier fils arrivait le retrouver en classe de terminale.
Souvent M. Lindo était devenu un véritable précepteur bénévole, encadrant des jeunes du quartier « Rounga » où il réside, qui arrivaient nouvellement en terminale, en Français, Philosophie, Histoire et Géographie, etc.
Souvent aussi ces jeunes sont reçus sans beaucoup de difficultés au Bac, mais lui pourtant n’a jamais eu cette chance, se contentant de la récolte du vin de palme, mais sans désespérer.
Avec une persévérance incomparable, Paul Lindo est finalement admis au Bac en 2008, soit 27 ans de patience et de courage, « car c’est un tome 27 » disent les élèves de la classe des terminales.
En apprenant, un de ses anciens condisciples, M. Etienne Vickomo déjà titulaire d’un Diplôme d’Etude Approfondi (Dea) en Communication, et Journaliste à la Radio Centrafrique, s’est dit « très émerveillé par ce succès » qui sanctionne un long parcours d’endurance.
« C’est un monsieur très intelligent qui maîtrisait tout à l’école », a témoigné M. Vickoma, satisfait du succès de Paul Lindo.
Tome 27, comme on dit vulgairement, le succès de Paul Lindo est étonnant, car tout le monde le croyait maudit. Le succès de M. Lindo confirme l'adage selon lequel "tant qu'il y'a la vie, il y'a toujours de l'espoir.
Face à cette situation, le ministère de l’Education Nationale a adressé une lettre de félicitation et d'encouragement à l'heureux lauréat pour sa persévérance et son courage légendaire qui devient un grand exemple à suivre.
De candidat régulier au candidat libre, il est omniprésent tous les ans pour tenter sa chance, arrivant plusieurs fois au second tour. Selon les témoignages, Paul Lindo avait juré de ne pas céder, même si son premier fils arrivait le retrouver en classe de terminale.
Souvent M. Lindo était devenu un véritable précepteur bénévole, encadrant des jeunes du quartier « Rounga » où il réside, qui arrivaient nouvellement en terminale, en Français, Philosophie, Histoire et Géographie, etc.
Souvent aussi ces jeunes sont reçus sans beaucoup de difficultés au Bac, mais lui pourtant n’a jamais eu cette chance, se contentant de la récolte du vin de palme, mais sans désespérer.
Avec une persévérance incomparable, Paul Lindo est finalement admis au Bac en 2008, soit 27 ans de patience et de courage, « car c’est un tome 27 » disent les élèves de la classe des terminales.
En apprenant, un de ses anciens condisciples, M. Etienne Vickomo déjà titulaire d’un Diplôme d’Etude Approfondi (Dea) en Communication, et Journaliste à la Radio Centrafrique, s’est dit « très émerveillé par ce succès » qui sanctionne un long parcours d’endurance.
« C’est un monsieur très intelligent qui maîtrisait tout à l’école », a témoigné M. Vickoma, satisfait du succès de Paul Lindo.
Tome 27, comme on dit vulgairement, le succès de Paul Lindo est étonnant, car tout le monde le croyait maudit. Le succès de M. Lindo confirme l'adage selon lequel "tant qu'il y'a la vie, il y'a toujours de l'espoir.
Face à cette situation, le ministère de l’Education Nationale a adressé une lettre de félicitation et d'encouragement à l'heureux lauréat pour sa persévérance et son courage légendaire qui devient un grand exemple à suivre.