L’audience accordée à M. Mohamed Ben Razi, à la tête d’une forte délégation de ses collaborateurs tant du Maroc que de la République Centrafricaine, vise à jauger toutes les situations en République Centrafricaine en vue d’une relance de l’économie, surtout qu’à la Banque Populaire Maroco-Centrafricaine, les autorités sont confiantes, du fait de la parfaite santé de la banque.
Les fondamentaux à la BMPC sont au beau fixe, a déclaré M. Mohamed Ben Razi, qui a fait asseoir ses justificatifs sur la notation de la COBAC qui est proportionnel aux fonds propres de la banque ayant dépassé les 10 milliards de francs CFA.
Ce n’est pas l’argent qui manque à la BMPC, a lancé M. Ben Razi. Seulement, l’économie ne permet pas d’injecter cet argent dans le circuit économique dans le souci de relancer l’économie.
C’est pourquoi, le Président du conseil d’administration de la BMPC a recommandé que l’Etat réduise ses dettes vis-à-vis des banques, que les salaires soient payés, que l’économie reprenne vie et que l’argent injecté dans l’économie renoue avec son cycle pour être profitable à la fois aux consommateurs, aux entreprises, aux opérateurs économiques et même aux banques.
Rappelons-que la BPMC est l’exemple d’une coopération sud-sud. Elle avait vu le jour il y a vingt ans, grâce à la volonté politique du Président André Kolingba et du roi du Maroc, Mohamed VI.
Précisons enfin que M. Ben Razi fut un des anciens dirigeants de la Banque Populaire Marcoco-Centrafricaine.
Les fondamentaux à la BMPC sont au beau fixe, a déclaré M. Mohamed Ben Razi, qui a fait asseoir ses justificatifs sur la notation de la COBAC qui est proportionnel aux fonds propres de la banque ayant dépassé les 10 milliards de francs CFA.
Ce n’est pas l’argent qui manque à la BMPC, a lancé M. Ben Razi. Seulement, l’économie ne permet pas d’injecter cet argent dans le circuit économique dans le souci de relancer l’économie.
C’est pourquoi, le Président du conseil d’administration de la BMPC a recommandé que l’Etat réduise ses dettes vis-à-vis des banques, que les salaires soient payés, que l’économie reprenne vie et que l’argent injecté dans l’économie renoue avec son cycle pour être profitable à la fois aux consommateurs, aux entreprises, aux opérateurs économiques et même aux banques.
Rappelons-que la BPMC est l’exemple d’une coopération sud-sud. Elle avait vu le jour il y a vingt ans, grâce à la volonté politique du Président André Kolingba et du roi du Maroc, Mohamed VI.
Précisons enfin que M. Ben Razi fut un des anciens dirigeants de la Banque Populaire Marcoco-Centrafricaine.