Organisée par l’ONG – Association des femmes de Centrafrique pour la Lutte contre l’Alphabétisation (AFCLA) » en partenariat avec le ministère de l’Education Nationale et de l’Enseignement Technique, avec l’appui financier de l’ambassade de France, cette journée internationale vise à former les femmes et les jeunes filles déscolarisées en vue d’améliorer leur condition de vie socioculturelle et leur réinsertion dans la vie active.
Saisissant cette opportunité, le Directeur de Cabinet Marcelin Kongbowali a lancé un appel solennel à la jeunesse de Bangui et ses environs à adhérer massivement à ce programme pour restaurer un dialogue entre elle, afin de participer aux activités menées autour du civisme, du respect des droits humains, de la tolérance de la culture de la paix, de l’apprentissage de lié à la lecture, à l’écriture et au calcul.
Par ailleurs, il a encouragé l’ONG - AFCLA pour tous les efforts entrepris pour infléchir le taux d’analphabétisme qui est de 63 % dont 76 % en milieu féminin.
Le Conseiller de Coopération à l’Ambassade de France, Françoise Béhue a estimé pour sa part qu’il est important de rétablir la sécurité, la paix et la confiance entre la population afin les jeunes filles puissent reprendre le chemin de l’école, le socle du développement de la République Centrafricaine.
Il convient de noter que la célébration de cette journée a regroupé plusieurs centres d’alphabétisation et ONG travaillant dans le domaine éducatif.
Saisissant cette opportunité, le Directeur de Cabinet Marcelin Kongbowali a lancé un appel solennel à la jeunesse de Bangui et ses environs à adhérer massivement à ce programme pour restaurer un dialogue entre elle, afin de participer aux activités menées autour du civisme, du respect des droits humains, de la tolérance de la culture de la paix, de l’apprentissage de lié à la lecture, à l’écriture et au calcul.
Par ailleurs, il a encouragé l’ONG - AFCLA pour tous les efforts entrepris pour infléchir le taux d’analphabétisme qui est de 63 % dont 76 % en milieu féminin.
Le Conseiller de Coopération à l’Ambassade de France, Françoise Béhue a estimé pour sa part qu’il est important de rétablir la sécurité, la paix et la confiance entre la population afin les jeunes filles puissent reprendre le chemin de l’école, le socle du développement de la République Centrafricaine.
Il convient de noter que la célébration de cette journée a regroupé plusieurs centres d’alphabétisation et ONG travaillant dans le domaine éducatif.