« On a réussi à signer l’accord qui est considéré comme un accord satisfaisant pour toutes les parties, et qui nous ouvre un boulevard pour toutes les forces vives de la nation, les acteurs politiques de la société civile qui se préparent pour aller au dialogue politique inclusif », a-t-il indiqué.
Pour le ministre Cyriaque Gonda, ce qui reste à faire, c’est « l’observation stricte du cessez-le-feu, de l’amnistie qui devrait être promulguée à l’endroit des militaires, des combattants des mouvements politico-militaires, des fonctionnaires membres civils de ces pour les faits liés à la rébellion », pour leur permettre de prendre part au dialogue.
Il a par ailleurs indiqué que la date du dialogue politique inclusif est approximativement située à 45 jours, à partir de la date de la mise en place du Comité d’organisation le 8 juin 2008.
Il faut noter que les points forts de l’accord global de paix de Libreville sont entre autres la confirmation de leur engagement à respecter le cessez-le-feu, la promulgation d’une loi d’amnistie générale à l’endroit des militaires, des combattants et des civils des mouvements politico-militaires Aprd et Ufdr pour des crimes et délits poursuivis devant les juridictions nationales centrafricaines à l’exception des crimes relevant de la compétence de la Cour Pénale internationale (Cpi), la réhabilitation dans leurs droits des militaires centrafricains radiés pour des faits liés à la rébellion et fonctionnaires civils de l’Aprd et de l’Ufdr dans leur formation et corps d’origine.
Il convient de signaler que l’accord global de paix de Libreville constitue la somme des accords parcellaires signés entre le gouvernement et l’Ufdpc le 2 février 2007 à Syrte en Libye, le 13 avril 2007 avec l’Ufdr à Birao et le 9 mai 2008 à Libreville avec l’Aprd.
Signalons que « pour des raisons logistiques », M. d’Abdoulaye Miskine de l’Ufdpc, actuellement en Libye, n’a pu faire le déplacement de Libreville. Toutefois, cet accord global de paix est dit « ouvert » à la signature de tout autre mouvement politico-militaire.
Pour le ministre Cyriaque Gonda, ce qui reste à faire, c’est « l’observation stricte du cessez-le-feu, de l’amnistie qui devrait être promulguée à l’endroit des militaires, des combattants des mouvements politico-militaires, des fonctionnaires membres civils de ces pour les faits liés à la rébellion », pour leur permettre de prendre part au dialogue.
Il a par ailleurs indiqué que la date du dialogue politique inclusif est approximativement située à 45 jours, à partir de la date de la mise en place du Comité d’organisation le 8 juin 2008.
Il faut noter que les points forts de l’accord global de paix de Libreville sont entre autres la confirmation de leur engagement à respecter le cessez-le-feu, la promulgation d’une loi d’amnistie générale à l’endroit des militaires, des combattants et des civils des mouvements politico-militaires Aprd et Ufdr pour des crimes et délits poursuivis devant les juridictions nationales centrafricaines à l’exception des crimes relevant de la compétence de la Cour Pénale internationale (Cpi), la réhabilitation dans leurs droits des militaires centrafricains radiés pour des faits liés à la rébellion et fonctionnaires civils de l’Aprd et de l’Ufdr dans leur formation et corps d’origine.
Il convient de signaler que l’accord global de paix de Libreville constitue la somme des accords parcellaires signés entre le gouvernement et l’Ufdpc le 2 février 2007 à Syrte en Libye, le 13 avril 2007 avec l’Ufdr à Birao et le 9 mai 2008 à Libreville avec l’Aprd.
Signalons que « pour des raisons logistiques », M. d’Abdoulaye Miskine de l’Ufdpc, actuellement en Libye, n’a pu faire le déplacement de Libreville. Toutefois, cet accord global de paix est dit « ouvert » à la signature de tout autre mouvement politico-militaire.