Les objectifs de cette session de formation, prévue pour prendre fin le 21 février prochain, sont entre autres la réduction du nombre des cas de violation des droits humains, l’information et la présentation des droits humains en général et ceux des enfants en particulier.
Ces assises regroupent une vingtaine de participants qui, pendant trois jours, vont être initiés au travail de surveillance et de documentation en matière de violation des droits humains, à l’identification des violations des droits humanitaires, aux principes directeurs du travail de surveillance des droits, aux techniques d’enquête et à la méthodologie de production d’un rapport relatif aux droits de l’Homme et de l’Enfant.
La présidente de l’AFJC, Maître Marie Edith Douzima Lawson, a déclaré qu’ « il est opportun de définir des stratégies et actions susceptibles de favoriser la mise en œuvre d’actions multiformes contre ces violations ».
L’administrateur de protection du couple Mère/Enfant à l’Unicef, Mme Marie Chantal Amokomayen, a pour sa part indiqué qu’« il est impératif de réduire et empêcher les violations des droits humains fondamentaux, plus particulièrement la violence contre les civils, l’abus sexuel et l’exploitation ».
En vue de soutenir les interventions humanitaires en faveur des enfants et des femmes déplacés, « il est nécessaire d’assurer la supervision et le plaidoyer contre les violations graves des droits des enfants et des femmes, la prévention, la protection contre toutes formes de violence, » a-t-elle conclu.
Rappelons que la République Centrafricaine a ratifié la convention des Nations Unies relative aux droits de l’Enfant depuis le 23 avril 1992.
Ces assises regroupent une vingtaine de participants qui, pendant trois jours, vont être initiés au travail de surveillance et de documentation en matière de violation des droits humains, à l’identification des violations des droits humanitaires, aux principes directeurs du travail de surveillance des droits, aux techniques d’enquête et à la méthodologie de production d’un rapport relatif aux droits de l’Homme et de l’Enfant.
La présidente de l’AFJC, Maître Marie Edith Douzima Lawson, a déclaré qu’ « il est opportun de définir des stratégies et actions susceptibles de favoriser la mise en œuvre d’actions multiformes contre ces violations ».
L’administrateur de protection du couple Mère/Enfant à l’Unicef, Mme Marie Chantal Amokomayen, a pour sa part indiqué qu’« il est impératif de réduire et empêcher les violations des droits humains fondamentaux, plus particulièrement la violence contre les civils, l’abus sexuel et l’exploitation ».
En vue de soutenir les interventions humanitaires en faveur des enfants et des femmes déplacés, « il est nécessaire d’assurer la supervision et le plaidoyer contre les violations graves des droits des enfants et des femmes, la prévention, la protection contre toutes formes de violence, » a-t-elle conclu.
Rappelons que la République Centrafricaine a ratifié la convention des Nations Unies relative aux droits de l’Enfant depuis le 23 avril 1992.