Le président Pierre Boyoya lors du point de presse, Photo-ACAP/Soupou
Cette déclaration a été faite au cours d'un point de presse qu'il a donné dans la mi-journée pour situer l'opinion sur l’avancement des travaux du DPI débutés le 8 décembre dernier à l'hémicycle de l'Assemblée Nationale à Bangui.
"Notre souhait aux participants, c’est que les gens puissent sortir des idées, des propositions pour que l’après Dialogue Politique Inclusif ait une vie politique apaisée", a-t-il fait remarquer.
A la question de savoir si les recommandations du DPI seront appliquées, le président Buyoya a répondu qu'il appartient aux participants de "tirer les leçons du passé et de mettre en place un mécanisme de suivi plus efficace pour la transparence dans la gestion de l’Etat".
"Ce que nous avons demandé pour les travaux en commission, c’est que les gens puissent discuter avec l’objectif de produire des recommandations concrètes, pratiques dans le meilleur des cas", a -t-il ajouté.
Abordant la question de l’absence de M. Abdoulaye Miskine, président du Front pour la démocratie du peuple centrafricain (FDPC), le Président Pierre Buyoya, a répondu que " Abdoulaye Miskine en tant que chef d’une branche armée à déjà signé un accord de paix avec le gouvernement le 2 février 2007 à Tripoli".
Pour M. Buyoya, le fait pour M. Abdoulaye Miskine de signer un accord de paix avec le gouvernement est la preuve qu'il est engagé dans la logique du processus de paix.
"Je crois que dans cette matière, l’expérience de ce qui s’est passé dans mon pays est là pour le prouver. Il faut dialoguer avec ceux qui sont près et avancer et quand on avance, ce sera un effet d’entraînement pour les autres", a -t-il fait observer.
Commentant l'appel à la démission du Président de la République exprimé par l'Union des forces vives de la nation à l'ouverture du DPI, le président Buyoya a déclaré qu'il s'agit d'un discours politique auquel d'autres discours politiques ont répondu.
Cet appel ne signifie pas que le ciel est tombé sur la République Centrafricaine, a-t-il souligné, ajoutant qu'il faudrait laisser les participants au DPI s'exprimer librement.
Rappelons que ce point de presse intervient cinq jours après l’ouverture des assises du Dialogue Politique Inclusif, alors que les travaux en commission se poursuivent.
"Notre souhait aux participants, c’est que les gens puissent sortir des idées, des propositions pour que l’après Dialogue Politique Inclusif ait une vie politique apaisée", a-t-il fait remarquer.
A la question de savoir si les recommandations du DPI seront appliquées, le président Buyoya a répondu qu'il appartient aux participants de "tirer les leçons du passé et de mettre en place un mécanisme de suivi plus efficace pour la transparence dans la gestion de l’Etat".
"Ce que nous avons demandé pour les travaux en commission, c’est que les gens puissent discuter avec l’objectif de produire des recommandations concrètes, pratiques dans le meilleur des cas", a -t-il ajouté.
Abordant la question de l’absence de M. Abdoulaye Miskine, président du Front pour la démocratie du peuple centrafricain (FDPC), le Président Pierre Buyoya, a répondu que " Abdoulaye Miskine en tant que chef d’une branche armée à déjà signé un accord de paix avec le gouvernement le 2 février 2007 à Tripoli".
Pour M. Buyoya, le fait pour M. Abdoulaye Miskine de signer un accord de paix avec le gouvernement est la preuve qu'il est engagé dans la logique du processus de paix.
"Je crois que dans cette matière, l’expérience de ce qui s’est passé dans mon pays est là pour le prouver. Il faut dialoguer avec ceux qui sont près et avancer et quand on avance, ce sera un effet d’entraînement pour les autres", a -t-il fait observer.
Commentant l'appel à la démission du Président de la République exprimé par l'Union des forces vives de la nation à l'ouverture du DPI, le président Buyoya a déclaré qu'il s'agit d'un discours politique auquel d'autres discours politiques ont répondu.
Cet appel ne signifie pas que le ciel est tombé sur la République Centrafricaine, a-t-il souligné, ajoutant qu'il faudrait laisser les participants au DPI s'exprimer librement.
Rappelons que ce point de presse intervient cinq jours après l’ouverture des assises du Dialogue Politique Inclusif, alors que les travaux en commission se poursuivent.