Cette audience avec le Chef de l’Etat avait pour objectif d’aplanir les incompréhensions entre les nouvelles autorités de la Transition et les responsables du mouvement Antibalaka.
A l’audience, les responsables Antibalaka avaient trois revendications principales, portant respectivement sur leur non-représentativité dans le dernier gouvernement formé par le Premier ministre André Nzapayéké ; leur implication dans le processus du Désarmement, Démobilisation et Résinsrtion (DDR) ; enfin, des préoccupations particulières.
Pour un début de solution, les responsables Antibalaka ont déclaré qu’ils ont obtenu du Chef de l’Etat le poste de chef d’Etat major adjoint des Forces Armées Centrafricaine (FACA).
MM Sylvestre Yagouzou et Richard Béjouane ont réfuté toutes les bavures qui leurs sont attribuées. Ils accusent plutôt les jeunes de Bangui qui se sont glissés dans leurs rangs et qui excellent dans les actes de pillage et d’assassinat. Ils ont également indexé les populations civiles et les militaires qui avaient caché des armes au moment de la chute de François Bozizé et qui s’en servent actuellement à mauvais escient.
D’après eux, un vrai Antibalaka n’a d’armes que la machette et un gourdin. Ces deux outils devraient leur permettre de libérer le peuple centrafricain de l’assujettissement auquel il est soumis. En conséquence, un vrai Antibalaka n’a pas le droit de faire comme si on déshabillait Saint Pierre pour habiller Saint Paul.
M Sylvestre Yagouzou, notamment, a accuser les hommes politiques qui ont lancé le mouvement Séléka, non pas pour le bien-être du peuple centrafricain mais pour des intérêts égoïstes et criminels.
MM Sylvestre Yagouzou et Richard Béjouane ont déclaré qu’ils sont prêts pour protéger sans discrimination les chrétiens et les musulmans.
A l’audience, les responsables Antibalaka avaient trois revendications principales, portant respectivement sur leur non-représentativité dans le dernier gouvernement formé par le Premier ministre André Nzapayéké ; leur implication dans le processus du Désarmement, Démobilisation et Résinsrtion (DDR) ; enfin, des préoccupations particulières.
Pour un début de solution, les responsables Antibalaka ont déclaré qu’ils ont obtenu du Chef de l’Etat le poste de chef d’Etat major adjoint des Forces Armées Centrafricaine (FACA).
MM Sylvestre Yagouzou et Richard Béjouane ont réfuté toutes les bavures qui leurs sont attribuées. Ils accusent plutôt les jeunes de Bangui qui se sont glissés dans leurs rangs et qui excellent dans les actes de pillage et d’assassinat. Ils ont également indexé les populations civiles et les militaires qui avaient caché des armes au moment de la chute de François Bozizé et qui s’en servent actuellement à mauvais escient.
D’après eux, un vrai Antibalaka n’a d’armes que la machette et un gourdin. Ces deux outils devraient leur permettre de libérer le peuple centrafricain de l’assujettissement auquel il est soumis. En conséquence, un vrai Antibalaka n’a pas le droit de faire comme si on déshabillait Saint Pierre pour habiller Saint Paul.
M Sylvestre Yagouzou, notamment, a accuser les hommes politiques qui ont lancé le mouvement Séléka, non pas pour le bien-être du peuple centrafricain mais pour des intérêts égoïstes et criminels.
MM Sylvestre Yagouzou et Richard Béjouane ont déclaré qu’ils sont prêts pour protéger sans discrimination les chrétiens et les musulmans.