Il s’agit notamment d’une recommandation adressé au procureur de la cour pénale spéciale qui doit ouvrir immédiatement une enquête sur les crimes contre les journalistes commis par toutes les parties belligérantes en RCA depuis 2012. Au gouvernement, de s’engager à respecter strictement les résolutions 1738(2006) et 2022 (2015) du Conseil de sécurité des Nations-Unies.
Jean Ignace Manengou a relaté que jusqu’aujourd’hui, aucune enquête n’a été menée sur le cas de cette brillante professionnelle des médias, aucune démarche judiciaire n’a été entreprise à propos de la disparition d’Elisabeth Blanche Olofio.
Il a poursuivi pour dire que le cas d’Elisabeth Blanche Olofio n’est pas isolé parce qu’au niveau de l’Union des journalistes de Centrafrique (UJCA), une douzaine de cas de décès a été répertorié suite à l’exercice de leur fonction.
Le vice Présidente du comité ad hoc, Elise Lugo a quant à elle a témoigné qu’elle a connue Elisabeth Blanche Olofio, simplement quand elle entrait au bureau de la session des femmes professionnelles de la communication en 2013, date à la quelle le bureau a été mis en place.
Elle a indiqué que c’est par la suite d’une enquête de détournement de fonds destiné à la réhabilitation de l’école Michel Maitre dans l’enceinte du diocèse Catholique de Bambari, qu’Elisabeth a été directement menacée par l’évêque Edouard Mathos lors d’une réunion de travail organisée avec le personnel de la radio Be Oko.
Selon elle, une enquête avait révélé que les rebelles de la Séléka se sont lancés à la recherche d’Elisabeth Olofio, et ont réussis à mettre la main sur elle et l’ont grièvement blessée, ayant l’entrainée dans un état d’inconscience.
P.
Jean Ignace Manengou a relaté que jusqu’aujourd’hui, aucune enquête n’a été menée sur le cas de cette brillante professionnelle des médias, aucune démarche judiciaire n’a été entreprise à propos de la disparition d’Elisabeth Blanche Olofio.
Il a poursuivi pour dire que le cas d’Elisabeth Blanche Olofio n’est pas isolé parce qu’au niveau de l’Union des journalistes de Centrafrique (UJCA), une douzaine de cas de décès a été répertorié suite à l’exercice de leur fonction.
Le vice Présidente du comité ad hoc, Elise Lugo a quant à elle a témoigné qu’elle a connue Elisabeth Blanche Olofio, simplement quand elle entrait au bureau de la session des femmes professionnelles de la communication en 2013, date à la quelle le bureau a été mis en place.
Elle a indiqué que c’est par la suite d’une enquête de détournement de fonds destiné à la réhabilitation de l’école Michel Maitre dans l’enceinte du diocèse Catholique de Bambari, qu’Elisabeth a été directement menacée par l’évêque Edouard Mathos lors d’une réunion de travail organisée avec le personnel de la radio Be Oko.
Selon elle, une enquête avait révélé que les rebelles de la Séléka se sont lancés à la recherche d’Elisabeth Olofio, et ont réussis à mettre la main sur elle et l’ont grièvement blessée, ayant l’entrainée dans un état d’inconscience.
P.