L’objectif de ce mouvement de protestation est d’exiger des autorités de la Transition la mise en application du décret portant statut spécial de la police centrafricaine ainsi que les effets financiers afin d’améliorer les conditions socioprofessionnelles des intéressés.
Pour rendre effective leur mouvement, les policiers ont paralysé le fonctionnement de leurs administration. Tous les bureaux des commissariats, ou presque, sont fermés. L’entrée principale du Ministère de la Sécurité publique, de l’Emigration Immigration, est hermétiquement fermée.
A la direction générale de Police centrafricaine et à l’Office Central de Répression de Banditisme (OCRB), deux institutions voisines de chaque côté de la chaussée, les éléments ont barricadé la voie et se servent de sifflet pour entretenir les troubles à l’ordre public.
Pour l’instant, c’est le silence radio, tant au niveau de la hiérarchie de la police qu’au niveau de la base. Plus personne ne veut s’adresser à la presse pour l’éclairer sur les motivations profondes de ce débrayage.
Pour rendre effective leur mouvement, les policiers ont paralysé le fonctionnement de leurs administration. Tous les bureaux des commissariats, ou presque, sont fermés. L’entrée principale du Ministère de la Sécurité publique, de l’Emigration Immigration, est hermétiquement fermée.
A la direction générale de Police centrafricaine et à l’Office Central de Répression de Banditisme (OCRB), deux institutions voisines de chaque côté de la chaussée, les éléments ont barricadé la voie et se servent de sifflet pour entretenir les troubles à l’ordre public.
Pour l’instant, c’est le silence radio, tant au niveau de la hiérarchie de la police qu’au niveau de la base. Plus personne ne veut s’adresser à la presse pour l’éclairer sur les motivations profondes de ce débrayage.