Cette aide constituée des avions mirages F1, ont-ils précisé, permettra de lutter efficacement contre l’insécurité dans le Nord du pays, ajoutant qu’elle vient « renforcer les capacités logistiques des Forces armées centrafricaines (FACA) et de la FOMUC » qui « se battent contre les agresseurs de la République Centrafricaine et les groupes rebelles qui tentent avec des appuis extérieurs, de déstabiliser toute la sous région d’Afrique centrale ».
Le GPPMP remercie le Président Jacques Chirac et le gouvernement Français pour cet appui logistique et exhorte par la même occasion la France à « poursuivre son aide à la RCA et à la diversifier dans les domaines aussi sensibles tels que la santé, l’éducation, l’aide budgétaire, l’environnement et les infrastructures ».
Le GPPMP invite par ailleurs les Centrafricains à taire leurs divergences politiques afin de barrer la route à l’ennemi.
Il relève que l’aide de la France ne saurait être considérée comme « un pansement alcoolisé » pour soulager le gouvernement en difficulté sur le terrain des opérations comme « prétendent certains mauvais esprits ».
Il convient, affirme le GPPMP de reconnaître « qu’il y’a un danger réel en la demeure » et que le bon sens voudrait que tous le conjurent avant « de mettre en avant des exigences politiques comme le dialogue politique qui reste la principale exigence de l’opposition politique ».
Le GPPMP remercie le Président Jacques Chirac et le gouvernement Français pour cet appui logistique et exhorte par la même occasion la France à « poursuivre son aide à la RCA et à la diversifier dans les domaines aussi sensibles tels que la santé, l’éducation, l’aide budgétaire, l’environnement et les infrastructures ».
Le GPPMP invite par ailleurs les Centrafricains à taire leurs divergences politiques afin de barrer la route à l’ennemi.
Il relève que l’aide de la France ne saurait être considérée comme « un pansement alcoolisé » pour soulager le gouvernement en difficulté sur le terrain des opérations comme « prétendent certains mauvais esprits ».
Il convient, affirme le GPPMP de reconnaître « qu’il y’a un danger réel en la demeure » et que le bon sens voudrait que tous le conjurent avant « de mettre en avant des exigences politiques comme le dialogue politique qui reste la principale exigence de l’opposition politique ».