Le Président François Bozizé prononçant son allocution à la table ronde des bailleurs de fonds de la RCA à Bruxelles (ph. C.A.Ndotah)
« Seul l’appui technique et financier de ces partenaires peut permettre à la République Centrafricaine de faire face aux défis du développement », a-t-il plaidé, déplorant que « à ce jour en dépit des efforts déployés en direction des institutions financières susceptibles d’accorder des prêts concessionnels, nous n’arrivons pas encore à obtenir les ressources nouvelles pour le financement des programmes et projets de développement» susceptibles d’arrêter la détérioration de la situation sociale.
« L’appui des partenaires nous est indispensable pour poursuivre la consolidation de la démocratie et la restauration de la paix dans le pays en vue d’un développement humain durable », a poursuivi François Bozizé, qui a souligné la nécessité de raffermir les réformes économiques et structurelles engagées depuis deux années par le gouvernement en vue de « remettre l’économie sur la voie d’une croissance durable par la restauration de la paix et de la sécurité sur l’étendue du territoire, l’assainissement des finances publiques et de l’environnement des affaires, la gestion transparente des ressources naturelles, le rétablissement de la justice et de l’Etat de droit ».
Reconnaissant que « beaucoup reste à faire » en matière des droits de l’Homme, Il a affirmé tendre la main à toutes les organisations oeuvrant dans ce domaine pour aider son pays « à faire disséminer les valeurs des droits de l’Homme partout en République Centrafricaine ».
« C’est pourquoi j’ai invité personnellement l’Ong Human Rights Watch à venir poursuivre un dialogue constructif avec nous dans ce sens, suite au rapport récemment publié par elle qui fait état de situations de violations des droits de l’Homme dans mon pays », a-t-il expliqué, rappelant avoir « personnellement présidé l’inauguration du siège de la Cour pénale internationale à Bangui, le 18 octobre dernier, témoignage de ma volonté à faire respecter les droits de l’Homme, en luttant contre l’impunité dans mon pays ».
François Bozizé s’est par ailleurs engagé à mettre en application les recommandations « pertinentes » des Etats Généraux de la justice organisés à Bangui du 16 au 20 octobre dernier et annoncé la tenue au premier trimestre 2008 d’un séminaire national sur la réforme du secteur de sécurité en République Centrafricaine censé « enrichir la série des initiatives d’urgence en cours dont particulièrement le renforcement du lien entre sécurité, paix et développement ».
Considérée comme capitale pour la République Centrafricaine, la table ronde de Bruxelles intervient un mois après l’admission de son dossier à l’initiative Pays pauvres très endettés (PPTE) qui devrait permettre au pays de bénéficier d’un allègement de sa dette.
« L’appui des partenaires nous est indispensable pour poursuivre la consolidation de la démocratie et la restauration de la paix dans le pays en vue d’un développement humain durable », a poursuivi François Bozizé, qui a souligné la nécessité de raffermir les réformes économiques et structurelles engagées depuis deux années par le gouvernement en vue de « remettre l’économie sur la voie d’une croissance durable par la restauration de la paix et de la sécurité sur l’étendue du territoire, l’assainissement des finances publiques et de l’environnement des affaires, la gestion transparente des ressources naturelles, le rétablissement de la justice et de l’Etat de droit ».
Reconnaissant que « beaucoup reste à faire » en matière des droits de l’Homme, Il a affirmé tendre la main à toutes les organisations oeuvrant dans ce domaine pour aider son pays « à faire disséminer les valeurs des droits de l’Homme partout en République Centrafricaine ».
« C’est pourquoi j’ai invité personnellement l’Ong Human Rights Watch à venir poursuivre un dialogue constructif avec nous dans ce sens, suite au rapport récemment publié par elle qui fait état de situations de violations des droits de l’Homme dans mon pays », a-t-il expliqué, rappelant avoir « personnellement présidé l’inauguration du siège de la Cour pénale internationale à Bangui, le 18 octobre dernier, témoignage de ma volonté à faire respecter les droits de l’Homme, en luttant contre l’impunité dans mon pays ».
François Bozizé s’est par ailleurs engagé à mettre en application les recommandations « pertinentes » des Etats Généraux de la justice organisés à Bangui du 16 au 20 octobre dernier et annoncé la tenue au premier trimestre 2008 d’un séminaire national sur la réforme du secteur de sécurité en République Centrafricaine censé « enrichir la série des initiatives d’urgence en cours dont particulièrement le renforcement du lien entre sécurité, paix et développement ».
Considérée comme capitale pour la République Centrafricaine, la table ronde de Bruxelles intervient un mois après l’admission de son dossier à l’initiative Pays pauvres très endettés (PPTE) qui devrait permettre au pays de bénéficier d’un allègement de sa dette.