Présentation livre Goumba (ph. Zoumbassa, Acap).jpg
Devant un public trié sur le volet, au premier rang duquel le Premier ministre Elie Doté, l’ancien Premier ministre Henri Maïdou, le ministre d’Etat à la Communication Abdou Karim Meckassoua et quelques diplomates, l’ex-opposant radical, aujourd’hui âgé de 81 ans, a indiqué avoir voulu « montrer aux générations contemporaines et futures la causalité historique entre les maux dont nous souffrons en ce moment et les échecs historiques de nos jeunes Etats ».
« Les jugements humains étant subjectifs, ils peuvent choquer ou indisposer le lecteur par certains passages du livre », s’est-il excusé, se défendant d’avoir « la moindre intention de faire revivre les aspects douloureux de la période coloniale, ni d’offenser qui que ce soit » et justifiant par sa volonté d’alimenter le débat démocratique l’option de publier ses mémoires de son vivant.
La présentation de cet ouvrage de 374 pages consacré à la période de 1956 à 1959, année de la mort de Barthélemy Boganda, premier président de la République Centrafricaine, a été suivie d’une projection de diapositives commentées par l’auteur, qui s’est ensuite prêté aux questions des journalistes, avant de se rendre à Bobangui sur le mausolée de Barthélemy Boganda, le premier président de la République Centrafricaine.
L’exercice du pouvoir découlant de la loi cadre (Loi Deferre) et ses aléas, les tentatives de regroupement des pays africains, l’avènement du général De Gaulle avec le référendum du 28 septembre 1958, la naissance de la République Centrafricaine, le début des guerres fratricides en Afrique sont les principales questions abordées par l’auteur dans ce premier volume comportant de nombreux documents (lettres et photos) et vendu à 21 000 F CFA (32 €).
Le second volume des mémoires du professeur Goumba devrait paraître chez le pasteur Shebuel d’ici 3 à 4 mois, indique-t-on dans son entourage.
La publication de ce livre, qui intervient un an après la nomination de son auteur au poste de médiateur de la République, consacre la retraite politique du vieux leader, qui aura mis environ 40 ans à s’opposer aux différents régimes qui se sont succédé dans son pays, avant de devenir Premier ministre en mars 2003 et de quitter, 2 ans plus tard, la direction du Font patriotique pour le progrès (Fpp), parti qu’il a créé en 1991 et sous les couleurs duquel il s’est présenté pour la 5ème fois à la présidentielle en mars 2005.
« Les jugements humains étant subjectifs, ils peuvent choquer ou indisposer le lecteur par certains passages du livre », s’est-il excusé, se défendant d’avoir « la moindre intention de faire revivre les aspects douloureux de la période coloniale, ni d’offenser qui que ce soit » et justifiant par sa volonté d’alimenter le débat démocratique l’option de publier ses mémoires de son vivant.
La présentation de cet ouvrage de 374 pages consacré à la période de 1956 à 1959, année de la mort de Barthélemy Boganda, premier président de la République Centrafricaine, a été suivie d’une projection de diapositives commentées par l’auteur, qui s’est ensuite prêté aux questions des journalistes, avant de se rendre à Bobangui sur le mausolée de Barthélemy Boganda, le premier président de la République Centrafricaine.
L’exercice du pouvoir découlant de la loi cadre (Loi Deferre) et ses aléas, les tentatives de regroupement des pays africains, l’avènement du général De Gaulle avec le référendum du 28 septembre 1958, la naissance de la République Centrafricaine, le début des guerres fratricides en Afrique sont les principales questions abordées par l’auteur dans ce premier volume comportant de nombreux documents (lettres et photos) et vendu à 21 000 F CFA (32 €).
Le second volume des mémoires du professeur Goumba devrait paraître chez le pasteur Shebuel d’ici 3 à 4 mois, indique-t-on dans son entourage.
La publication de ce livre, qui intervient un an après la nomination de son auteur au poste de médiateur de la République, consacre la retraite politique du vieux leader, qui aura mis environ 40 ans à s’opposer aux différents régimes qui se sont succédé dans son pays, avant de devenir Premier ministre en mars 2003 et de quitter, 2 ans plus tard, la direction du Font patriotique pour le progrès (Fpp), parti qu’il a créé en 1991 et sous les couleurs duquel il s’est présenté pour la 5ème fois à la présidentielle en mars 2005.